3eme round ( louve )

Le soleil se leva en même temps que Roran ( lol ^^ ca me fait trop rire ca ). Il n'était pas fier de lui, mais lorsqu'il ouvrit a fenêtre de la chmabre loué de l'auberge, inspirant le vent à grande bouffé, il éprouva un semblant de bien etre. Rien à voir avec celui auquel il aspirait, mais c'était déjà ca. Il était parfaitement à l'heure. Le levé du soleil est l'heure parfaite. C'est le moyen où nos yeux d'Homme deviennent performant, et les organes peuvent se délier tranquillement, puisqu'ils sortent d'une bonne nuit. En réalité, cette nuit était la meilleurs que le garçon avait passé depuis bien des lunes. Même si ces paupières étaient un peu lourdes, ces jambes un peu molles, son mal de crâne avait disparut avec la nuit. Il avait bien l'intention de restait le maximum de temps dans cette état d'esprit.

Il prit cinq minute pour faire des étirements. Ensuite, sans perdre une seconde, il tira un tiroir de a commande migrichone, trouvant sans trop de souci 2 papiers usés et une plume d'oie. Pour l'encre, il du chercher encore cinq bonne minutes, et se maudit de ne pas avoir regarder directement sur le bureau avan,t de retourné la chambre pour la trouver.
Il tira la chiase et s'assit. Cependant, avant de commencer à écrire, il tendit l'oreille. Il avait pris soin de faire le minimum de bruit possible. Non pas par respect de ces voisins de paliers, mais parce qu'il ne voulait pas se faire prendre.

Se faire prendre ? Par qui ? Par quoi ?

Roran non plus ne le savait pas, mais il était persuadé que s'il ne fesait pas attention, il se ferai prendre.
Il saisi enfin la plume et la plongea dans l'encre. Si son mal de crane avait disparut la veille, il revint au galop. Effecteivement, Roran avait beaucoup de mal à se souvenir du bel art qu'était l'écriture.

* gr ! Maudite cervelle ! *

Il usa bien un quart d'heure de son temps pour tracer quelques lettres un peu difforme, mais heureuseuement pas dénudé de sens : « La porte du fond de la brasserie »

Et hop il rangea la plume et l'encre sur le bord du bureau, plia le papier du dessus et laissa soigneseument le papier du dessus en evidence sur le bureau. Il se leva et s'éloigna de quelques pas pour regarder la scene.
Tres bien ! N'importe quel imbécile qui vindrait fouiner dans sa chambre comprendrait qu'il venait d'écrire, et chercherait à identifier la nature du message en essayant de voir sur le seconde papier, certes vierge, mais avec les appuies de la plume de Roran.

Ensuite, sans plus de cérémonie, il posa une main sur la fenetre et ... Paf. Tomba en bas de l'auberge, sur ces jambes qu'il avait prit le temps d'éfaucher quelque sminutes auparavant. Tout allait pour le mieux, et le beau soleil semblait sourire.

Une image vint troubler le bon matin. Le gars de la veille au soir. Le gars qui lui avait parlé d'une maniere sympathique, mai qui avait eu le don d'enerver Roran... Il haussa les épaules, pourquoi pensait-il à lui ? Rien à faire de ce gars là.

Les mains dans les poches, la tete baissé, il traversa la ville encore endormi dans un grand silence, et sans encombre. Encore une fois, l'image du garçon apparut deant ces yeux.

*yen a marre à la fin ! *

Mais qu'es que c'et que cette histoire ? Pourquoi venait-il le perturber à la fin !
Il réfléchit lon,guement, fronça les sourcils de ce visage pourtant si détendu à son lever.

*Es que... C'est un signe ? Devrais-je lui demander de... ? *

Pourtant, il n'avait pas l'impression que c'était cela, le probleme. Quelques chose clochait chez ce garçon aux mitaines. Roran soupira alors qu'il sortait enfin de la ville, sous son habit noir.
Il fallait qu'il se fasse une raison. Il ne reconnaissait plus les opportunité que le ciel lui donnait...

Au bout d'un certain temps de marche, il s'arreta et regarda autour de lui.Ce champ était sympathique, mais à en juger par l'herbe jaune à ses pieds, pas un lieu à fréquenté l'apres midi. Il ferait trop chaud. Mais pour l'heure, le soleil n'avait pas encore assez de puissance pour lui jouer des tours, et décida donc de se coucher, à travers champ, les bras derriere les tete et le yeux fixé sur le ciel encore rosé.

*daccord, j'ai compris. Jene pas chercher, c'est ca ? Trop de risque de faire des erreurs. Dans ce cas, je vais attendre. Attendons... *

Ce dernier mot conjuguez à la 1 personne du pluriel... Je vous laisse devinez de qui il sagit...

Malheureusement pour Roran, quelque chose d'autre errait également par ici.
Quelque chose avec plein de poils, plein de griffes et plein de crocs.
Pointues les crocs.

L'ombre noire avancait d'un pas tranquille entre les herbes lorsqu'une odeur chatouilla son odorat sensible.
Un petit sourire apparut sur son long museau pendant qu'elle partie dans une course silencieuse vers la source de l'odeur.
Elle était discrète et un humain n'avait aucune chance de pouvoir l'entendre ou la voir avant qu'elle ne soit a un mètre. Pas de bol Roran, qui plus est, elle en avait après lui.

La chose c'était brusquement arrêter a une dizaine de mètres du jeune homme et elle c'était aplati au sol, toujours en silence.
Elle était sous le vent et il ne risquait pas de la voir avant qu'elle n'ait atteint son but.
Presque en rampant, elle avanca, centimètre par centimètre, vers Puissant Marteau qui n'aurait pas du se lever ce matin la.

A un mètre du garçon, elle s'arrêtas de nouveau, prit une impulsion et ...

plus bas.

Déjà fatigué ?

Encore un peu plus bas

Et elle bondit, atterrisant sur le torse de Roran avant qu'il n'ai pu se relever ou prendre son marteau.
La forme ténébreuse n'était autre qu'une élégante et gracieuse louve noire... de taille plus que respectable avec son 1m20 au garrot.
La louve c'était presque assise sur le jeune homme et a voir son petit sourire, elle n'avait pas l'intention de lui faire du mal.
* Enfin ! Depuis le temps que je cherche ton odeur toi, je ne vais pas te laisser partir comme ca ! *

Bien évidement, elle n'avait pas parlé dans l'esprit du garçon. Ses pensées étaient personnelles tout de même.

Le pelage noir de la louve étincellait sous le soleil du Surda et faisait ressortir ses fantastiques yeux argentés. Un rayon de lumière captura le pendentif d'ambre qui pendant a son cou, acroché a une chainette d'argent, et faisait sortir de la pierre des éclats dorés merveilleux.
Si Roran ne comprenait pas qu'elle s'appellait Ambre après.

Mis a part sa taille, plus qu'imposante, et son aspect physique en général , elle pourrait presque passer pour un chien.
Presque. En fait, elle ressemblait a tout sauf a un chien. Mais elle ne voulait pas de mal a l'humain sur lequel elle était assise, ca, cela se voyait.

Roran, les bras derriere la tete et les yeux perdu dans le vague, se demandait se qu'il attendait.
Pardon, se qu'ils attendaient. Il avait beosin de se convaincre que non seulement il n'était pas seul, mais en plus, il était avec Katrina.
Quelle dommage qu'il ne puisse pas l'admirer... Mais bientôt, se serait tout autre chose qu'il allait admirer (^^).
Mais pour l'heure, il laissa échapper un sourcil. Le voilà qu'il avait des pensées égoistes. I ne devait pas penser A Katrina, mais penser A la sauver. Et cela ne le rendait pas francehement heureux. En ce beau matin, il avait peut etre cru que tous n'était qu'un rève. Oups, qu'un cauchemard. Mais tous n'était que la pure et mesquine vérité. Comment passé à côté ?
Ce n'était simplement pas possible, et même, pour Roran, c'était impensable. Pas un jour il ne cirrait, pas un jour il ne vivrait pour elle.

Il irait la chercher. Et bientôt.
Ce fut la seule pensée 'agréable' de son esprit. Oui, il allait aller la chercher. Même si le temps était que du futur, s'était du futur proche.
Dans 2 jours exactement...

* deux jours... *

Alors qu'il croyait pouvoir ratrapé un peu le manque de repos de la veille, à cause de qui-vous-savez-le-sale-gamin-qui-ne-fait-que-de-l'embêter, mais la vie en voulu autrement. Il n'eut pas le temps de faire quoi que se soit, pourtant poussé par un instint formibable qui aurait voulu lui obliger à se relever. Mais c'était trop tard. Bien trop tard. Il fut aveugler par un grand voile noir assimilable à un pelage d'un canidé et bientôt, ce fut la douleur qui l'aveugla preque.

Il venait de se faire sauter dessus par un espece de démon satanique. Et malheureusement pour Roran, sacahtn qu'il été casi-completement détendu à la seconde de l'impacte que le haut de son coprs remonta instantanément pour compenser la douleur, ou par pur reflexe, se qui lui vallut de se cogner relativement puissement la tête contre celle de l'assaillant.

Gromellant et se remettant de sa mésaventure, il avait au moins le mérite d'avoir tenter d'assomer son ennemi, c'était déjà un bon point à dire à Lucifer, évitant qu'etre la risé des enfers...

Peu ! Pas question de mourir. Quitte à le faire, ce sera seulement lorsque Katrina sera libre. Donc pas demain la veille. Roran était le seul – pour l'instant- à y pouvoir quoi que se soit. La sentence de la mort de sa bien aimé flotter à tout moment sur sa tête, et avait même fini par lui noricir les yeux.

Ainsi, Roran ne morrait pas.
Oui, le ridicul ne tut pas. Cette ... epsece de chose, assise sur lui, semblait, à la maniere du garçon garçon de la veille, lui rire au nez.
Mais se qui fut loin de provoquer la même réaction chez le jeune homme.

S'emportant, comme s'il parlait à un etre qui comprendrait se qu'il voulais dire, il se mit à s'agiter.

« Non mais ca va pas ? Quelle ville de fou ! »

Entre ce jour et la veille, il venait de récolter le grelot.
Mais il ne se doutait pas qu'il s'agissait la d'une elfe et de son soi disant gentil petit fiancé.
Il le saurait bein assez tôt. Pour l'heure, ces yeux froncés s'était fixé sur le pendentif de la bête.

Il ne réfléchit pas une sconde de plus et essaya de se dégager de son emprise, scrutant les alentours d'un regard étrange... comme celui du chasseur, et ccelui de la proie...
Et ne pas en douter, il cherchait une autre présence.

Roran, en se redressant brutalement, fut victime d'un petit coup de museau dans le menton et d'un grand coup de langue dans la figure.
La louve le fixait avec calme de ses grands yeux argentés, sans jamais le regarder dans les yeux.
Fixer un animal dans les yeux est toujours une insulte.
Par contre, elle ne se privait pas pour complêter la toilette du garçon qui était en train de se faire raper le visage a coups de langue.

Bon, elle semblait s'amuser follement elle.

La créature au sombre pelage le lacha enfin, enfin arrêta de le lêcher ce qui n'était pas mal, pour se rouler en boule.
Sur ses genoux.

Malheureusement, deuxième fois, pour Puissant Marteau, il n'y avait absolument personne dans le coin. Juste la louve noire et lui.
Louve noire qui haletait bruyament, souffrant intensément de la chaleur et des rayons du soleil qui tapait sur sa fourrure ténèbreuse.

* Je ne te lache plus, non non non *

La, elle s'amusait beaucoup moins. Mais elle était sensiblement trop lourde pour que Roran puisse la dégager comme ca, a moins de la porter dans ses bras et encore.
Et elle était également plus forte que lui. Il avait gagné le grelot quoi ....

Haletant toujours, elle le fixait pendant qu'il s'agitait et on pouvait presque lire ses commentaires désaprobateurs dans ses yeux.

* Ville de fou ? Je ne sais pas si tu as remarqué mais c'est un champs ici, pas une ville. *

La louve commencait franchement a se demander s'il n'essayait pas de la ventiler a force d'agiter les bras comme ca. Expérience déroutante.

* Tu est ridicule, vraiment ridicule. Je ne comprendrais jamais les humains a vouloir gesticuler tous le temps par une telle chaleur. Dommage tu ne peut pas entendre ce que je dis ... Ca aurait changé quoi de toutes facons ? *

Le prédateur secoua la tête, faisant voler un peu, non pas de bave, un peu de sang qui provenait d'une plaie légère sur la gorge.
Quelques gouttelettes s'écrasérent sur le visage du jeune homme, le tachant d'écarlate.

Mais le garçon était loin de lui faire le moindre affropnt en la fixant dans les yeux. Lon de là. N'ayant pas l'instint de l'animal, comment aurait-il put savoir qu'il n'y avait personne dans les parages ? Et en plus, cette espece de... chose (! ) n'avait vraissemblabelemnt pas la moindre envi de déguerpir vite fait bien fait.
Et Roran continuait à se toriller.

Cette louve portait un collier. Et elle n'avait pas put, même avec toutes les peines du monde, se l'accrocher seule à son cou, du moins sous cette forme. ( oulala doué le gars^^).
De plus, elle était habitué à l'homme, à en juger par la toilletage qu'elle infligeait à Roran, lequel dailleurs il essayait d'échapper, par la même occasion.

Il stoppa ces enfantillages puérils et ne lui acorda plus la moindre intention, passant ces mains autour d'elle. Ainsi, il était pres à la faire glisser par terre à la moindre alerte.
Ce n'étaiot pas normal. Et en plus, il n'avait rien senti venir. S'il y avait un humain, au quoi que se soit du genre, il aurait du le remarqué. N'avait-il vraiemnt pas assez dormi cette nuit ?

Il fronça les sourcils, tenant à loigner ce genre d'idées. Ne pas douter de soi. Voilà en quoi il devait croire, s'il voulait avancer. Avancer toujours plus loin et avoir la force de ne pas se retourner. Et cette force vous puisse, croyez le bien. Son regard se fesait de plus en plus dur..

C'est là qu'il eu une soudaine idée. Terrifiante.

** malheur ! **

Heureusement que son paranoyat aait repris le dessus. Il croyait dur comme fer qu'il y avait cacher pas tres loin de là, le maitre de la louve, ou encore quelqu'un qui la manipulé, et que ce quelqu'un était particuilerement puissant et particuilerement doué...
Il eut une pensée pour Melgan. Qu'il chassa bien vite. Melgan ne pouvait pas lui faire de mal(oula, le pauvre ) .
Oui, si une chose est claire : Il y avait quelque chose de... pas normal.

Cette phrase tourna encore et encore, dans sa tête de paysan. Son regard vint avec douceur et lenteur se poser à novueau sur la louve, qui était infiminent plus interessante que les buissons impacides.

c'est la qu'une derniere hypothese, la plus improbable et la plus osée vint le frapper de plein foué.
Si fort qu'il failli tombe à la renversé, et pendant une fraction de seconde son visage dur et froid se changea une grimace de surprise. Un liquide chaud sur sa joue vint l'arracher à sa pensée obscures.

** pas le moment de délirer mon gars, cette louve est autant posséder par toi que par un brin de paille, et de plus, elle est blessée **

Même s'il lui devait un bon bleu au menton, et de la bave sur la figure, qu'il ne tarda pas à esseiller dailleurs, il n'était pas un mauvais garçon et enlaça la bête.
Avec une luidité déconcertante, il la souleva comme un gros bébé et la déposa par terre.
En vérité ses msucles avaient pris un volume relativement important pendant la maneauvre,e t lui avait cassé le dos. Mais aucun de ces signes n'apparurent sur son visage, qui s'était à nouveau refermé.

Non seulement il aurait eut du mal à l'examiner si elle était rester sur lui, mais en plus se sentir géné, à l'entroit, pas libre de ces mouvement, tous ce que vous voulez, n'était pas bon pour ses nerfs. Avec lesquels il n'ets pas recommandables de jouer.

Ainsi, il s'agenouilla devant elle et contempla la plaie.

« Je ne suis pas médecin, mais je suis pas un idiot. D'où vient tu, boule de poil ? »

Bien sûr, lorsqu'on parle à un animal, on attends pas la moindre réponse. Cependant, il en aurait quand même espérait une. ET pourquoi elle lui avait sauté dessus ?
Une copine à Eragon qui aurait senti en lui son odeur ?

« haha... »

Sur un ton qui ferait plus pleurer que rire.

** Arya doit etre jalouse... héhé **

Cette fois ci, sa pensée était plus terrifiantes qu'autre chose. Il aimait pas Arya. Il aiamait pas les elfes. Mais trève de blabla, il devait se consentré. Il leva les yeux au ciel...

« je pense que n'importe qui pourrait dire qu'il faut commencer par stopper le sang et désinfecter... »

Comme dit précédement, il était pas médecin -_-'' .

La louve gémit doucement mais ne se débattit pas pendant la manoeuvre. Elle était prudente tout de même mais a entendre ses petits couinements, elle n'aimait pas tellement se faire transporter comme ca.

Sitôt que ses pattes touchérent le sol, le prédateur se remit debout et s'ébroua a nouveau mais ne s'enfuit pas.
Elle semblait vouer une affection étrange mais honnête a Roran. Pas normal quoi ...

Haletant a nouveau, la louve fixa le garçon qui examinait la plaie d'un air légèrement nerveuse. La gueule grande ouverte pour évacuer la chaleur, on avait un bel apercus de ses crocs.
Crocs qui n'avait rien a voir avec ceux d'un chien soit dit en passant. Ceux du prédateur sauvage étaient énormément plus pointus et elle savait s'en servir.

En parlant de crocs, la balafre sur son cou était dû a un coup de machoire. Probablement un des molosses des environs, dressé a garder le bétail ET a se défendre contre les espions de Galbatorix.
Le genre de chiens qui haïssent les loups plus que tout quoi. Mais c'était fini. Les chiens qui avaient commis l'erreur stupide de l'attaquer elle était mort sous ses crocs et elle avait retrouver celui qu'elle cherchait.
Parfais quoi !

L'animal qui n'en était pas un lui renvoya un regard étrange. Pourquoi riait-il ? Sa plaie, qui lui faisait subir mille morts, était donc si hilarante ? C'est le fait de l'appeller 'boule de poils' qui l'amusait ?

Beaucoup de questions pour la pauvre bestiole quoi.

* Désinfecter, je suis d'accord, mais il faudrait rentrer a Aberon pour cela. *

S'étirant, la louve donna un petit coup de museau délicat dans le torse du jeune homme. Le genre de geste que ferait un loup avec quelqu'un de sa meute pour lui demander de rentrer chez eux. Chez eux, c'était les tanières, pour la louve noire, c'était plutôt l'endroit ou Roran avait élus domicile.

Roran, les yeux un peu perdu dans la plaie, commença à se demander s'il fesait bien de rester là à rien faire en réfléchissant. Par moment il fallait arreter de réfléchir. Melgan avait deja assez torturé ses méninges, la veille au soir, alors que le paysan venait de se prendre une cuite qui avait bien du lui démolir nombre de cellules grises. Alors peut etre que Roran devait cesser de s'inquieté. Surtout d'une louve Qui n'avait apparement aucune crainte envers lui.
Mais jutsment, c'était cela qui le frichonnait. Pourquoi elle qu'elle lui était tomber dessus ?
Une aide ? Celle qu'il avait tant attendue ? Mais... pourquoi une louve ?

Il la regarda et posa une main sur son encolure, cherchant qu'il y avait d'autre marque de crocs dissimulé sous le beau pelage noir. Il fronça les sourcils une seocnde, se relevant. Il fallait qu'il l'emnène dans la ville. Il trouverait à l'auberge ce dont il avait besoin. Mais il fallait y emmener la bête, sans que personne ne s'en méfie.

Il la vit, la gueule grande ouverte, on se sait trop pourquoi faire, mais en tout cas, cela ne donnait pas tellement envi d'y fourrer la main. Mais le paysan regarda avec calme toutes ces belles dents.
Il s'y voillait refleté sur leur éclat qui fesait pensé aux beaux sourires d'un femme.

Ces crocs venait de lui donner l'excuse dont il avait besoin pour demander de l'alcool afin de désinfecter la plaie de la louve, en la cachant. Cependant, il y avait une autre possibilité, celle de la laisser visible à tous, et comme cela, il n'en aurait pas besoin , de son excuse... ET se serait certainement plus facile. Pourtant, il hésitait. Tout ce qui pouvait attirer l'attention sur lui serrait mauvais.

Il leva une main pour se gratter la tête, regardant le canidé, et constatant qu'il n'avait encore rien fait depuis tout à l'heure.

« raa ! »

Il tourna le dos et commença à marcher en direction de la ville, d'où il venait. Il posa une main sur sa hanche, au ses doigts trouvèrent le contact désiré avec le marteau. S'étant habituer à son poids, Roran arriver à se demander s'il ne l'avait pas oublié. Mais par ces temps ci, il en était hors de question.

Enfin bref, il se retourna et dire , comme pour accuser la louve qui n'avait absoluement rien fait :

« et ca te viendrais pas à l'idée de m'aider, hein ? »

Bien sûr, connaissant, ou comrpennant un peu le jeune homme, cela était loin d'etre agressif. Tout le contraire, même. Il venait de prouver qu'i était prêt à la prendre sous son aile.

« Allez viens, je te demanderai de garder la gueule fermer et de rester à côté de moi. »

Il posa les yeux sur elle, insitant et même presque suppliant.

« tu peux le faire hein ? J'en suis sûr. Juste pour ce matin, le temps que je te soigne, tu va devenir.. mon chien. Voilà, s'il te plait, soi mon chien. Ca m'arrangerait bien. C'est beaucoup plus courant que d'avoir un loup. Il n'y verrront que du feu ! »

Cependant quelque chose foncis sa vision.

« sauf lui, évdement. »

Ensuite, il se retourna sur les portes de la cité, réajustant son manteau foncé, et grommelant des phrases incompréhensibles avec des ' orgeuilleux', des ' son sale cheval' et des ' un loup'

[Je sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression que le fameux "lui", c'est moi! Xd]

(mdr^^ non non *sifflement d'innoncent* ^^
mais donc j'ai un piti problem pour répondre à l'auberge, parce que je sais pas si louve va accepter de jouer un chien, ou s'il faut que je la cache, et sa changera forcément ma façon d'agir à se moment la Sad

)

» Louve
» 2eme round ! (tallagh en faite^^)
» 1er round ! ( les dragons !^^)
» De nouveau en ces lieux... [Louve =D]