( bon, alors c'est juste pour faire plaisir à Kat'^^
parce que j'ai écrit un post assez long, alors qu'il fallait faire un rapide ( bouhouuuuuuuuuuu !
du coup, je l'ai enlever de ma présentation en attendant que je le racoursice, et le met la en attendant ^^ voila, desolé ! )
Roran referma la porte derriere lui, tentant de ne faire aucun bruit. Bien sûr, cela ne servait à rien, parce que vu l'état de la jeune femme couchée dans la chambre, juste derriere cette paroie de pierre, ne serrait certainement pas réveillée par un bruit sourd, ni par rien du tout d'ailleurs.
Le garçon contenait ses peines et ses lamentations dans le silence le plus absolu. Il ne parlait à personne. De toute façon, il n'y avait personne. Il avait rapidement éloigné Katrina de toute activitée, et se retrouvait maintenant au milieu de nul part, n'attendant plus que le réveille de sa bien aimé pour décider à se déplacer.
Effectivement, depuis qu'il avait réussit à retirer la belle au bois dormant des mains griffus de quelques créatures, certes débiles, mais bougrement puissantes, il avait porter le corps afaiblit et si leger de la jeune prisonnière, avant de décamper en vitesse.
Sortant de la petite maison, il se baissa pour ramasser un bâton par terre. Le faisant tourner machinalement entre ses doigts, il décida de s'asseoir dans l'herbe. Le vent vint soulever ses cheveux trop longs. Son esprit était brouillé, et il passait ses journées à prier pour le rétablissement de Katrina...
Il serra fermement le bâton entre ses doigts, son regard noir, baissé, ne voyait rien depuis longtemps, il était aveugler par son amour, et tentait vainement de pouvoir prendre, ou ne serait-ce que partager la douleur, physique et mentale, de l'endormie.
La bâton cessa dans sa main d'un bruit lugubre, ressemblant à un craquement d'os. Roran se maudissait. Lui-même, ainsi que sa faiblesse. Sa nullité. Son incompétence. Jamais il n'oubleirait a vision d'horreur que Katrina lui avait offerte à son arrivée. Elle n'avait même plus la force de s'étonner des évenements qui se passaient autour d'elle. S'était-elle seulement réjouie ? Ou bien, elle n'avait même plus la volonté de vivre...
Le garçon se leva brusquement. Il ne voulait pas penser à cela. Jamais il ne se la pardonnerait si Katrina refusait à son bien le plus précieux, à sa vie, à cause d'un crétin dans son genre.
Son regard se tourna vers la maisonnette, qu'il ne tarda pas à rejoindre d'un pas lent, laissant là le bout de bois brisé à même le sol...
[...]
L'ancien paysan marchait de vive allure vers la cabanon. Il portait un sac bien rempli sur son épaule, et son visage... Souriait ?
Devant le perron, alors qu'il tendit sa main exitée vers la poignée de la porte, celle ci tourna d'elle même, pour dévoiler derriere une Katrina maigrichonne, mais bien portante.
« Qu'es ce que tu fais ? Je t'ai demander de ne pas sortir, retourne vite te coucher ! »Le ton de Roran n'était évidement pas oppressant, mais il venait de prendre une sacré frousse, croyant que des bandits étaient passés par là. De plus, dans l'état de la jeune femme, pas question qu'elle épuise ses forces innutilement. Le garçon posa négligeament le sac sur la pierre froide du sol après en avoir sortit quelques herbes comestibles, et raccompagna Katrina dans l'unique lit, avec toute la douceur dont il était capable. Il était content, et fier qu'elle est la force de se mettre debout.
Il la veilla tout les soirs, et lui racontait son périple. Du village jusqu'au Surda, puis jusque dans les bras de son aimée. Il n'oublia pas Eragon, les efles, les nains, et même les dragons... Il prit bien garde d'oublier de dire tout se qui touchait à la guerre, à Galbatorix et à ce fidèle marteau briseur de crâne.
Lorsqu'il vit que l'état de santé de Katrina progressait tous les jours, il prit enfin la désicion de rejoindre le Surda, pour qu'elle se rétablisse entièrement, et pour qu'elle n'est plus jamais à subir les conséquences de l'inatention de son imbécile de promi. Il ne parlait jamais de cette nuit là, où elle fut arrachée de ses bras. Il en portait la totale responsabilité, et s'en voulait effroyablement. Au côté de Katrina, il se sentait fort, mais incroyblement petit... Peut etre que pour la protéger, il aurait fallut se séparer... Elle n'aurait plus été une cible...
Mais arriver au Surda, le destin en décida autrement. Effectivement, ils pirent la décision... De se marier ! ( comment ça , encore ? ) Cette fois ci, c'était pour de bon ! Et rien n'aurait put empecher Roran d'aller jusqu'à son but. Enfin presque.
Dans un bel habit noir, il marchait le sourire au lèvre vers une superbe Katrina, elle dans une robe d'une blancheur qui n'avait d'égale que le bonheur du garçon. L'état de sa Belle... Il aurait voulu l'admirer pendant des heures, pour toujours, toute l'eternité. Arriver en face d'elle, il prit ses mains entre les siennes, et son regard brulant d'un amour sans limite la fixait avec douceur. Mais bientôt son expression changea. Ses yeux s'étaient fermés, et il ne semblait plus rien vouloir voir ni entendre, comme s'il savait se qu'il allait se passer...
Un cri fusa dans son dos. Il ne bougea pas. A nouveau, quelqu'un prononçait son nom...
Le coeur plus cesser que jamais, il n'osa pas regarder Katrina dans les yeux. Voir la tristesse de son regard était trop difficile pour le garçon, il avait bien trop peur. Ses mains lachèrent doucement celles de Katrina et il se retourna comme un robot alors qu'un groupe de 5 personnes couraient encore jusqu'à lui.
« Roran, problème.
Enchanté madame » dit le premier, le regard étourdis.
Puissant marteau n'avait plus la même expression benette. Il avait prit le regard qu'un soldat a avant que le clairon de l'attque final sonne sur le champ de bataille. Il murmura difficilement et sechement apres un temps interminable:
« Pas ici, on s'éloigne. »A ses mots, la belle femme deriere lui fonbla fondre en larmes et le quitta brusquement pour aller e réfugier dans sa chambre attitré. Roran amorça un pas en avant, main une main peut etre aussi puissante de la sienne se posa sur son épaule. Le Varden reprit.
« C'est urgent, Roran. L'Infâme à préparé une armée à nous en faire pleurer. Tes bras ne seront pas de trop. »
« ...
je sait. »Voici la seule réponse de l'homme dnt le coeur venait d'être coupé en deux. Il fit un signe de doigts que le groupe comprit très bien ; il allait chercher les affaires de Puissant Marteau, pendant que ce dernier irait faire ses adieux...
« Katrina... » Soufflat'il en s'agenouillant devant le lit dans lequelle elle pleurait à chaudes larmes
. « je... » Il arreta de pleurer une seconde pour se pencher vers elle, et lui caresser la joue.
« je veux que tu soit là seule devant qui Puissant Marteau se courbe. Je veux que toi, tu n'est jamais à te courber davant personne. Je t'aime plus que tout, et mon amour pour toi est sans égale. Je reveindrais, Katrina. C'est une promesse. Et quand je serais de nouveau là, on reprendra la où on s'est arreter. Et tu vivra heureuse, car plus aucune Dame Ocles ne sera penchée sur toi.
Je ne supporterai pas qu'il t'arrive malheur par ma faute, ni pas la faute de personne. Je pars sur le champ pour écraser ceux qui se dresseront devant les Vardens, devant les elfes, les nains. Devant la Liberté. Celle de tous, et la tienne en premier... »Il se releva et se pencha vers l'oreille se son auditrice :
« souviens toi de l'étoile filante... C'est le changement que tous attendait, nous allons gagner, Katrina, c'est une promesse »Il se pencha davantage et finit par l'embrasser. Il avait promis, et par tous les moyens, reviendrait. Mais il devrait se battre, et il donnerait tout pour cela. Il quitta la chambre d'un pas résolu, il ne voulait aps qu'elle s'inquiete, même si s'était impossible... Ses amis l'attendait déjà, et lui remirent son arme fétiche dans le creux de la main.
« on y va les gars. »Tous prirent un sourire. Un sourire péné, car tous savait se que représentait de quitter ses proches, peut etre pour toujours. Mais tous souriait, marcahtn d'un même pas, s'éloignant de ce coin tranquille, pour allez se battre, de tout son etre de toute leur trippes, et il resterait sur le champ de bataille tant que leur idéal ne serait pas le maître mot de la nouvelle ère qui devait s'annoncer.
*faites que j'eusse raison... * Se dit Roran jettant un coup d'oeil sur le ciel, avant de reprendre
* je voudrais pas lui avoir mentit... *A l'assaut de la capitale, Roran commença à se rendre compte de l'ampleur de cette bataille. Les guerriers étaient vaillants et forts. Ils portaient en eux les feux de l'espoir, et Puissant Marteau fit tout se qui était en son pouvoir pour maintenir ses feux en brasier. Grâce à son nom, il avait acquérit plus de renomée que se qu'il avait pensée. En faite non. C'était Eragon, son cousin et frere, qui avait une sacré renomée. Et Roran en profitait à bonne essient pour maintenir le moral et la volonté des troupes à proximités de lui.
C'est peu être pour cela que lorsqu'un groupe d'assaut étaient en train de se fonder de quelques guerriers puissants, et plusieurs dragoniers dont Eragon, les troupes settait jetter avec ferveur sur les assaillient pour augmenter aux maximum les chances de reéussite de ces derniers.
*Je reste au front, et quand tu reviendras, ils te feront tous une haie d'honneur que tu aura bien mériter, je vais leur courber l'échine, Eragon *Et comme pour approuver ses dires, son marteau voltigeait dans l'air pour retomber avec grand fracas sur les corps des ennemis. Il remarqua la présence de l'efle, celle qui avait accompagné depuis ci longtemps sou cousin.
*Bonne chance mon frere... et à vous tous*Son arme ne quitterait ses mains au moment où plus un traitre ne respireraient, où jusqu'à se que lui même ne respirer plus. Le sang venant lui repaindre ses diverses protection, il brandit le point en l'air et hurla, bientôt reprit en coeur parnombres de soldat Vardens et autre :
*Pour la Liberté ! *Mais bientôt, les clameurs rageuses se firent moins bruillantes... et on entendit clarement l'odre de Nasuada :
« Retraite !!!!!!! »
Roran leva les yeux, tenant de comprendre pourquoi on leur cassait pas la figure à tous... Et il comprit. Parce que la figure d'un dragon est bien trop haute. C'est à se moment là que le groupe d'élite qui s'était formé venait de forcé un passage jusqu'à la forteresse. Alors qu'un flots de combattants tentait de se retirer, Roran resta bien encrer les pieds dans le sol.
*Je suis pas venu la pour fuir ! Par tous les moyens, je te le jure Eragon, que moi aussi je suis capable d'aider le peuple ! *Il décida dans un premier temps d'assurer les arrieres des Vardens obéissant à leur chef.
« Saleté de bestiaux ! » « oué ! Aucun honneur ! »
Roran se retourna brusquement... Le groupe des 5 Varden qui l'avait soutirait des mains de sa fiancée. Il les regarda, interrogateur. Tous montrèrent leur arme. Clairement, il n'avait pas l'intention de désobéir à leur chef, mais si Puissant Marteau restait, ils avaient décidé de lui porter secours. Ce dernier, dans une grande reconnaissance, leva son marteau bien haut et l'abatti sur une bestiole qui passait par là. Il releva ces yeux souriant presque sadiquement vers ses amis.
« Alors, c'est quoi la situation ? »« T'as pas de plan ? Vieu fou ! » Tout en parlant, ils combatteaient avec fureur, ils étaient de moins en moins nombreux, ne daignant pas reculer d'un pouce. « C'est les elfes qui ont reprit le combat, nous ne sommes pas équipés contre les dragons. »
« oué, mais pendant qu'ils s'occupent des sale bêtes, ils sont peu etre vulnérables à terre... J'y vais ! »« Ok ! On t'accompagne la bas et on se retire »
« ca marche ! »Avec la volonté de tout un régiment, les guerriers se déplacaient avec peine, doucement mais surement. C'est dans cette manoeuvre un peu complexe que Roran subit le plus de blessure. Il se fit balafrer le torse, faillit perdre ses jambes plus d'une fois, et son sang se melangé à celui des ennemis sur son visage. Mais pas à un seul moment il ne relacha son atention, pas à un seul moment il ne créa une breche dans le cercle de protection que les 6 personnes s'étaient concocter.
Arrivé a proximité des régiments d'elfes ( et malgres une certaine aversion que Roran puisse eut avoir pour eux ) il força les Vardens à déguerpir sur le champ, en longeant les longues oreilles ils n'aurait probablement pas de problème...
Le combat qui l'attendait ici était un peu différents de celui du rôle de bourrin de tout à l'heure. Tentant d'arriver le sol autour des archers, ou encore des magiciens ( ils n'a pas trop regarder, il était un peu occuper) iIl devait puisser dans ses reserves pour faire jouer son endurance et sa vitesse. Les assauts des dragons fusaient, et étaient dévastateurs. Le paysan comrpis la faiblesse des hommes devant de tel créatures, et put enfin accepter son ancienne défaite devant l'un d'eux. Au début, il devait alors l'air bien stupide à s'agiter devant cette armée si organisée, mais bientôt, lorsqu'il était en difficultés, les ennemis autour de lui tombaient sans qu'il n'eut lever un petit doigt.
*Ils sont peu etre pas si méchants que ca, ces elfes... *Il esquissa un sourire, pensant à se qu'il allait raconter à Katrina... Et fut rapidement sortis de ses pensées. Un poid sur le coeur vient réduire sa mabilité. Il ne comrpenait pas réelemtn se qu'il se passait, et devait lutter comme un beau bourgre pour sauver sa peau. Il finit par battre en retraitre, se convainqaunt qu'un soldat mort et moins utile que vivant.
« il y en a de plus en plus ! Je vais m'les f.. »Ses forces l'abandonnèrent sérieusement, et ses jambes commencèrent à flajoller dangereusement sous lui. Alors qu'une lame labattait en direction de son cou, elle fut contré au dernier moment dans un grand bruit de feraille, avant de la lame sauveuse décapite l'assaillant.
« Puré Roran ! T'es malade ou quoi ? Tu l'aimes ta femme ? Alors lève toi ! Bouge toi de là ! »
Roran cligna des yeux, et reconnu enfin le groupe de Varden... Enfin le groupe, il n'était plus que trois à présent. Il jetta un dernier regard en direction de la forteresse, et il lui sembla voir s'en échapper le groupe d'assaut. Croyant dur comme fer qu'Eragon était parmis eux, il oublia le poid qui l'avait fait vaciller, et put sans dommage quitter doucement l'efervescence fatal du champ de bataille.
Ce fut vers Du Weldenvarden que les troupes se retirèrent. Roran, encore tout ensanglanté, parvient à garder les idées claires assez longtemps pour penser à vois haute, entendu par on se sait qui :
« Lorsque j'aurais vu Eragon, je vais l'inviter à mon mariage avec Katrina, il va etre content...
Lorsque j'aurais retrouver Eragon, je... »Il s'écroula par terre, ne pouvant effacer de son esprit la vision de son cousin, qui étrangelement, le resserait les trippes.
Il s'était donc engagé à retrouver Eragon et le ramaner avec lui jusqu'aux Surda, pour y retrouver sa fiancée.
Et Aujourd'hui, il cherche encore...