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| Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) | |
| | Auteur | Message |
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Katrina Demoiselle Varden
Nombre de messages : 231 Armes : Ce qu'elle retrouvera dans sa vie... Race : Humains Date d'inscription : 03/12/2006
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| Sujet: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Ven 3 Aoû - 14:56 | |
| (J'ai décidé de prendre de l'avance, car je sais que tu reviens très bientot^^)
Deux ans... deux années c'est long à attendre, deux annés à voir passer les saisons et les jours de pluie et de soleil. Dans un coin perdu du Surda, à un endroit ou elle était en sécurité, une jeune femme qui venait de fêter seule son 22e anniversaire vivait seule, dans le doute, mais aussi avec un espoir qui n'était pas partit. Il y avait deux ans, elle avait enfilé sa belle robe blanche et ses cheveux flottaient dans le vent ayant aussi un petit bouquet de fleurs sauvages dans les mains. Elle avait marcher jusqu'à elle, avait pris ses mains avec une grande douceur et ils étaient sur le point d'être mari et femme lorsque son unique moment de bonheur chamboulla pour la guerre, la solitude et le desespoire.
Katrina habitait toujours la même petite maisonnette et elle s'occupait toujours du mieux qu'elle pouvait afin de ne pas repenser à des idées sombres et noires. Une journée, elle faisait beaucoup de cuisine, de réserves pour les temps plus froids même si au Surda la température était moins variante, une autre journée, elle tissait, elle tricotait tandis que d'autre elle s'occupait fdans son grand jardin ou veillait à faire plusieurs autres taches ménageres. Aujourd'hui, elle avait decider de laver tout le linge qui était rester dans une malle sous le lit. Ouvrant délicatement la boite, elle y revit sa robe de mariée qu'elle serra fortement entre ses doigts, quelques robes et quelques vêtements de son fiancé. Les larmes aux yeux, elle vint en sentir l'odeur une derniere fois avant de les mettre dans de l'eau et de les frotter doucement avec la plus grande délicatesse qu'elle avait.
Puis, elle sortit dehors de la maison avec son tas vers quelque chose qui ressemblait à une corde à linge. La jeune femme commencea à bien les mettre, à les disposé afin qu'ils seches. Il y avat aussi quelques nappes et quelques couvertures qui avait le vent virvoletait comme de grandes voiles. Dans ce spectacle, les cheveux de la damoiselle se mirent à voltiger eux aussi, tout autour d'elle était léger, sauf son coeur qui priait et qui pesait sur son unique amour peut-être mort à la guerre ou vivant, elle ne le savait pas, mais jamais elle ne cesserait d'espérer son retour... | |
| | | Roran Général Varden / Admin
Nombre de messages : 989 Armes : Marteau Race : Humain Date d'inscription : 12/11/2006
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Dim 5 Aoû - 18:11 | |
| Durant deux années, deux années de recherche et de lutte, Roran n'avait connu que la déception. Son tout premier brisement de coeur futlorsqu'il vit les chefs d'armés demander une retraite au nord. Les quelques kilomètres qu'il avait parcourut au côté de combattants aguéris en direction de la foret des elfes lui avait vallut plusieurs jours de mauvais préssentiment. Ce déplacement ne lui disait rien de bon, no pas qu'il n'avait pas la moindre envi d'aller voir les elfes – même si ce fut un peu le cas- mais surtout, il sentait la distance le reliant à Katrina s'agrandir. Il avait été convaincu à son premier pas qu'il ne pourrait pas rejoindre le Sud de ci tôt.
Les guerriers survivants de la grande bataille avaient tous faits le déplacement jusqu'en Weldenvarden, Roran n'avait pas fait exeption. Il souffrait que quelques blessures graves, mais aucune ne vallait celle de son coeur à qui on soumettait la plus grande torture. Loin de sa bien aimée, il n'avait même pas put voir une figure connus qui l'aurait récomnforté un peu ; son cousin avait disparut.
Aucune présence de Varden ne le réconforta. Il rester seul, à attendre péniblement qu'il puisse reprendre la route. Il voulait être assuré qu'il pourrait descender le pays seul, sans courir le risque de mourir bêtement. Non, ce n'est pas de l'égoïsme. S'il mourrait, comment reverrait-il celle qui l'attendait, quelques centaines de kilomètres au Sud ? Dès qu'il serrait sur pied, il partirait, s'était-il dit. Mais après sa convalescence, il en fut autrement. Il s'était fait remarqué auprès de nombreux guerrier, et ne manquait pas d'être soulicité de part et d'autre. Bon gré mal gré, Roran était pas un mauvais bougre, et prétait main forte à qui le lui demandait. Une fois il dut escorter un convoi exeptionnel.Ils allaient vers le Sud, alors Roran proposa immédiatement son aide. Il n'allait pas manquer une telle occasion de fuir l'ombre des arbres. Evidement, sa piorité première était de retrouvé Eragon. Mais son cousin n'était plus là, et le chercher devenait peine perdu. Lors de cette escortage, Roran tomba sur un os, ou plus exactement sur une embuscade. Lors de ce genre de mission, on accepte tous les risques, et le guerrier avait du assumé. Son convoi s'eclipsant dans la nature, il s'était retrouver seul face à une dizaines d'ennemi forts bien contents de le voir, et trop heureux de pouvoir lui faire la peau. Ne l'entendant pas de cette oreille, l'ex-paysan ne s'était pas laissé faire, et battu comme un beau diable. Cependant, il n'avait pas le dessus, loin de là. Il fut blessé gravement à la jambe droite, et l situation se dégradait au fils des heures. Un bon médecin lui aurait conseillait de rester immobile et d'éviter le stresse pour limiter l'afflu de sang, mais pour le soldat, se fut la peur au ventre de ne plus jamais voir dormir plaisiblement Katrina qu'il prit ses jambes à son cou pour échapper à ses assaillants, ne serrait-se que pour quelques minutes.
La fin de l'histoire ne toura pas en eau de boudin, il eut raison des derniers poursuivants partisants de l'empereur, mais sa jambe eut raison de lui. Infectée et dénuée de force -et de sang par la même occasion- il avait prit place sous un arbre, croyant que tout était bel et bien fini. Mais il fut ramassé par un aimable marchand d'ânes - même si ce service ne fut pas gratuit – et put regagné à un rythme extrement lent le Surda, sur le dos de son âne et au côté du vieux marchand. Ce dernier lui cessa une canne en bois, laquelle se servirait Roran encore pendant un bon bout de temps, si ce n'ets le reste de sa vie.
Ce fut boiteux, puant la transpiration la guerre et le sang, balafré de cicatrices toutes plus moches les unes que les autres, et vidé de toute ernergie qu'il était enfin arrivé devant chez lui, ne savant plus s'il avait bien fait de revenir devant la beauté du spectavle qui s'offrait à lui. La femme qui avait failli être sienne en train d'étendre le linge. Il pourrait sentir d'ici les odeurs enivrantes de cette situation pourtant si banales. Il restait là, immobile, tel un vieux combattants regardant le véritable résultat de toutes ses batailles, trop loin pour le palper, trop près pour y rester impasside. rien que pour voir cela, il se dit que si c'était à refaire, il aurait encore abandonné sa femme et sa vie pour partir au front, préférant la voir en sécurité -même avec la plus grande trsitesse du monde – que à ses côtés et en danger. | |
| | | Katrina Demoiselle Varden
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Dim 5 Aoû - 22:48 | |
| Katrina avait presque finit d'étendre le linge sur la petite corde que les vents se firent un peu plus violents, faisant claquer les grands draps sous quelques poussées. La jeune femme n'avait pas regarder en arriere elle, ne se sentant point observée comme c'était le cas. Elle finit son travail, prit le contenant et commencea à se diriger vers la maison d'un pas un peu décidé pensant se sortir peut-être quelques tartelettes ou un morceau de pain afin de calmer sa faim qui commenceait à se faire voir en cette fin d'apres-midi. Les temps chauds allaient recommencée, le printemps allait se terminer. L'hiver avait été rude, mais beaucoup moins pire que ceux à Carvahall.
Puis, un des vêtements ayant appartenus au Puissant Marteau tomba à terre et Katrina l'appercut du coin de l'oeil. Alors elle refit la distance entre sa petite maison et la corde à linge et s'abaissa pour le ramasser délicatement comme si cela aurait été un trésor, un bien précieux à son coeur. En relevant le regard, un grand rayon de soleil percutta ses yeux, mais elle finit par voir une silouhette plus loin... Presque personne n'était venu et le linge tomba de ses mains sous le choc.
Sa gorge se noua lorsqu'elle devina qui était à une quinzaine de metres devant elle et comme un moment qu'il lui parut interminable, la jeune femme fit un premier pas, puis un autre, vers lui. Au début elle avait si de mal à y croire qu'il était de retour, son amour, son fiancé, Roran. Plus elle avanceait silencieusement, les larmes qui se faisaient retenir pour ne pas pleurer, plus elle pouvait voir toutes les horreurs et difficultés qu'il avait dut vivre ses dernieres années, acoté sur une canne. Lorsque celle-ci fut à quelques metres, elle se promit de s'occuper de lui comme il l'avait fait pour elle avant de venir l'embrasser et que cette fois-ci ses larmes coulerent, mais plus des larmes de peine, mais ceux de joie. Apres, quelques temps, elle releva la tete vers lui, touchant sa peau de sa joue dont une barbe de trois jours poussait.
-Tu m'as tellement manqué... | |
| | | Roran Général Varden / Admin
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Lun 6 Aoû - 20:08 | |
| Roran, celui qu'on appelle Puissant Marteau, était tout se qu'il y a de plus désarmé et impuissant en ces lieux. Devant sa tendre et chere qui s'approchait de lui, d'abord en hésitant, puis d'un pas plus sûr, l'homme était rester planté là. Il n'arrivait plus à faire la différence entre son rève et la réalité. Il avait bien trop peur de se tromper pour y croire réelement.
*Katrina ? Combien de fois ai-je révé ce moment ? Es encore une fois de plus, ou bien ...*
Il ne resta pas longtemps dans cette pensée, voulant à tout prix profiter de ce moment, même s'il n'était qu'éfémère et irréel. C'est lorsqu'elle lui arriva dans les bras en l'embrassant, tel un ange venu du ciel, qui comprit qu'ele était belle est bien là, en vie, et à se qu'il en avait vue, en bonne santé. Ces bras musclés et fatigués s'enlacèrent doucement, la serrant doucement contre lui, ne voulant plus jamais la laisser partir. Cette femme, si fragile et si forte collé contre il, et dont les larmes chaudes lui coulaient dans le cou, était la raison de ses peurs, de son courage, de sa force et de sa vie. Il lui devait tout et bien plus encore. Ses bras autour de ses épaules, il avait une main qui tenait fermement sa canne en bois, alors que l'autre était posé délicatement sur les cheveux chatains de son amour. Il ne disiat rien, humant les parfums qu'il connaissait à présent depuis bien longtemps, et dont il avait était depuis trop longtemps éloigné.
Son étreinte se déserra quelques secondes, le temps que Katrina relève le tête pour lui souffler quelques mots qui lui serrèrent le coeur, tout en le lui réchauffant. Si elle savait combien elle lui avait manqué... Tellement qu'il ne sut rien répondre, et la serra à nouveau dans ses bras puissants. Le plus fort des deux n'était pas celui qu'on croit.
Si sa jambe ne lui avait pas rappeler brutalement qu'il n'avait rien à faire debout, il se serrait certainement mis à pleurer comme un nourisson. Son cou et sa machoire se contra une fraction de seconde, retenant toute marque de souffrance physique. Il n'avait pas fait tout se chemin pour se plaindre, il était là pour elle, et avait bien l'intention de tenir parole.
Il planta son regard dans le sien, et dérida son visage tiré en un sourir qu'il n'avait pas fait depuis deux ans, le jour où ils avaient failli s'unir pour la vie. D'un regard amoureux, illa dévisageait avec toute la douceur et l'amour dont il était capable.
« Katrina... »
Avait-il articuler dans un murmure. Il n'avait pas oser parler, ne sacahnt plus si sa voix n'était pas trop rude pour cette sublime femme. Il la trouva un peu maigre, et lui prit la main pour vérifier qu'elle n'avait pas que la peau sur les eaux. Après son examens attentioné, il l'approcha de son visage et déposa un baiser sur le dos de sa main avant de replonger son regard dans le sien.
« tu me pardonne si je ne te porte pas jusqu'à la maison ? » | |
| | | Katrina Demoiselle Varden
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Lun 6 Aoû - 21:32 | |
| Ils se retrouverent rapdiment dans les bras de l'aute et malgré que cela devait faire bien du temps qu'il avait changé de vêtement ou avait prit un bain, Katrina le serra dans ses bras comme pour lui faire signifier qu'elle ne le laisserait plus jamais repartir au loin sans elle. La jeune femme ne pouvait s'empecher de pleurer trop heureuse d'être enfin à ses cotés au nombre de nuits ou elle l'avait cru mort sur le champs de bataille, loin d'elle. Sa main rugueuse par la maintenance permanente de son marteau vint toucher sa douce chevelure et elle sentait qu'il la sentait. Apres lui avair dit quelques mots, Roran et Katrina se resserent avec un amour infini. Il n'était pas nécessaire de parler dans ses moments.
Soudain, la jeune femme le sentit se reprendre, essayer de ne pas gacher ce moment, mais celle-ci l'avait bien sentit. Elle se jura de toujours s'occuper de lui jusqu'à ce qu'il ait mieux et que Puissant Marteau retrouve sa vigueur d'avant. Apres l'avoir sauvée d'une mort certaine à Helgrind, elle lui devait bien cela et elle le ferait. Pendant ce temps seule, elle avait appri à maintenir une maison et à faire quelques remedes avec quelques plantes qui poussaient sur leurs terres. Katrina releva la tête pour le voir la regarder du regard qui troublait son coeur, celui d'un être aimant et il murmura son nom. Combien de fois elle avait voulu l'entendre ces derniers mois.
C'était comme si le temps s'était arreté, comme si il n'avait que les deux dans tout l'univers qui importait. Roran devait être tellement épuisé de son voyage et cela se voyait bien. Finalement, il lui prit délicatement sa main afin de voir si elle avait reprit un peu de poids depuis les dernieres années et elle n'était plus aussi maigrichonne qu'à leur derniere rencontre, mais seulement mince.
-Je vais m'occuper de toi et bientot tu en seras capable mon amour...
Dit-elle en souriant et elle lui prit délicatement sa main pour le mener jusqu'à leur chaumiere tranquillement pour qu'il la suive sans peine. La jeune femme avait encore quelques de ses habits et en ferait d'autre au besoin. Ses réserves et gardes-mangers n'étaient point vides et son amour débordait. Celle-ci arriva à le mener dans leur chambre d'ou elle entreprit de le faire coucher et qu'elle commencea à laver avec un linge mouillé afin d'enlever le sang séché. | |
| | | Roran Général Varden / Admin
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Lun 13 Aoû - 23:20 | |
| Puissant Marteau essayait de ne pas trop peser sur Katrina qui avait prit la décision de l'aider à se porter jusqu'à leur chambre. Situation peu banal, voir une ravissante femme soutenir un homme certainement deux fois plus lourd qu'elle, c'est pourquoi il faisait tous les efforts possibles pour ne pas trop lui peser, s'appuyant beaucoup sur sa canne. Chacun de ces pas étaient une torture, mais il n'était pas question de se mettreà râler, pas maintenant qu'il était auprès d'elle. Rien que de la voir lui redonner le courage de cent hommes. Il n'avait rien à regretter, si ce n'est avoir tarder à revenir. Cela avait été sa faute, et il était prêt à en prendre la responsabilité, tant qu'il pourrait rester là. Juste un peu, le temps de s'imbiber des parfums qui refluait une fois qu'ils furent à l'intérieur. Nombre de souvenir lui revinrent en mémoire. Ils n'avaient certe pas passé énormément de temps dans cette batisse, mais il était aussi précieux que chacun des mometns passé avec sa belle Katrina.
La force d'esprit qu'avait son amour avait surpris et surprenait encore Roran. Non seulement elle n'avait rien dit sur son air piteux, et n'avait pas attendu pour le guider à l'interieur de ces murs, elle n'avait pas non plus demander d'explications sur cette absence bien trop longue, et le plus marquant, était qu'elle avait parfaitement entretenu la maison. Rien n'était en désordre, et Roran avait l'impression d'être parti la veille. Pendant ces deux années, elle l'avait attendu, il le savait. Son amour pour elle ne pouvait lui faire douter d'une chose si importante. Elle l'avait attendu comme s'il allait revenir le lendemain. Tous les jours, elle avait du tous préparer comme avant, comme s'il allait revenir d'une minute à l'autre... En tout cas, c'était l'impression que lui donnait la maison. De plus, dans une atmosphère telle, il ne pouvait que se sentir bien. Trop bien.
Ne pouvant se taire encore une minute de plus, il prit la tête de Katrina dans sa main et déposa un baiser sur ses cheveux.
« Je m'en veux Katrina. Je m'en veux de n'être pas, ou plus, à la hauteur de tes espérances »
Il s'assit sur le lit douillet, soulageant un peu la douleur de sa jambe, mais ne ressentait pas l'envi de s'y coucher, malgrès la fatigue qui le tiraillait. Il voulait rester là, ses yeux plongés dans les siens. Elle semblait être occuper à le laver avec un torchon humide, mais lorsqu'elle le passa sur son visage, il attrapa sa main avec douceur. Le regard reconnaissant et désolé qu'il lui offrait valait bien mieux que les paroles, qu'il ne trouva d'ailleurs pas au fond de sa gorge. Il aurait voulu lui dire beaucoup, mais il n'y parvenait pas. Certe, il avait fait le choix de partir, et ça, il ne le regretait pas. Ce qu'il regrettait, c'est qu'il avait du partir. Etainsi la laisser, seule. Sans nouvelle et sans qu'elle sache quoi penser. La vie n'avait été pas rose pour les jours pour l'un comme pour l'autre, mais toutes ces doulerus et ses peines n'était rien devant se qu'il ressentait devant Katrina. Ne sacahtn que faire et refusant de se coucher alors qu'elle s'activait autour de lui, il restait droit comme un piquet, les lèvres sur sa main. | |
| | | Katrina Demoiselle Varden
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Mar 14 Aoû - 4:50 | |
| Quelque chose en elle la poussait à faire comme une excellante épouse et de ne pas être comme les deux ans ou elle avait vécu seule dans désespoire. Il était exténué, fatigué de son voyage et Katrina s'occuperait de lui en s'oubliant un peu chose certaine. La jeune femme essayait de demeurer souriante, malgré le fait qu'elle était triste de le voir blessé, mais heureuse de le retrouver vivant. Au début, celle-ci lui en avait voulu d'être partit en la laissant seule lorsqu'elle venait de sortir de sa rémission, d'être laissée à soi même sans personne à qui parler. Cela avait été un bien dur défi de rester saine d'esprit et de toujours entretenir l'espoir de jours nouveaux.
Ils entrerent dans la maison, enfin la maisonnette qu'elle avait habité seule et qui avait fait en sorte de ne rien changer du tout depuis son départ. Il y avait les même meubles, la même disposition... En entrant, à leur droite était la petite cuisine et à placarts à réserve et à leur gauche une petite table avec deux chaises. En continuant, un canapé et une armoire laissaient place à un escalier qui rendait à la chambre. Bien qu'il faudrait rénover pour plutard, la jeune femme y était heureuse à présent. Les réserves, il y en avait aussi pres de la maison, dans une trappe et la nourriture, il n'en manquait point. Roran semblait porter son attention sur toutes ses choses qu'il avait laissé et Katrina resta silencieuse. Doucement, il vint porter un baiser sur sa tête ce qui témoignait de 1000 mots...
La jeune femme resta silencieuse ne voulant pas se vider le coeur tout de suite et l'aida à monter les marches. Puissant Marteau ne voulait s'allonger et Katrina le nettoya doucement pour enlever quelques taches sur sa peau que la guerre avait laissé malgré tout. Puis, son fiancé lui prit sa main pour l,embtasser tendrement et elle laissa son linge sur la comode, avant de l'embrasser avec amour sur le front, les joues, le nez et les levres comme pour réaliser qu'il était vraiment la.
-Tu es partit si longtemps... j'ai eu si peur que tu sois mort, je n'avais aucune nouvelle. Au nombre de fois que j,ai pleuré ton départ, je me sentais si faible et si triste que je n,ai pas pu te dire adieu, te dire que je t,aimais... Le fait que tu sois de retour me fait revivre, je t'aime et tu seras le seul que j'aimerais malgré tout, le seul que j'épouserai et le seul qui aura le droit de me donner des enfants que nous éleverons. Tu guériras et je me fous que tu aies ta canne pour le reste de tes jours si tu es avec moi...
Dit-elle les yeux en larmes avant de se blottir dans ses bras heureuse et triste. Roran était sa seule famille, son seul ami, un des seuls êtres à pouvoir encore compté et elle ne le laisserait plus jamais repartir de cette demeure sans elle. | |
| | | Roran Général Varden / Admin
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Sam 18 Aoû - 13:00 | |
| Roran ne lachait pas la main de Katrina, serré entre les deux siennes. Il voulait pouvoir sentir la douceur et la chaleur qui s'en dégageaient. Il releva les yeux doucement, se laissant embrasser par la femme qu'il aimait. Il tendit la main pour venir éfleurer la joue de sa belle, un sourire sur ces lèvres. Pourtant, son sourire e figea. Katrina.. avait l'air si triste... Elle dévoilla bientôt l'objet de ses tourment, bien que Puissant Marteau s'en douter déjà fort bien.
Il l'écouta avec ses oreilles et son coeur. Contrairement à elle, il n'était pas capable de tout dire sur un plateau à son exemple. Cette aspect de personnalité qu'l admiriait chez Katrina ne faisait pas partie de son caractère. Mais il n'en pensait pas moins, et cette déclaration eut le don de le toucher profondément. Même s'il aavit une totale confiance en elle, il n'avais put s'empêcher de l'imaginer partir, loin d'ici, seul, ou avec un autre. Mais non. Elle l'avait attentu, malgrès la douleur que cela avait put lui provoquer.
Il la prit dans ses bras, l'encerclant avec douceur et protection. Elle était la seule chose qui comptait pour lui. Il avait perdu peu à peu tout se qui avait fait de lui se qu'il était, sauf elle. Il lui devait tellement...
« Merci... »
Se fut la seule chose qu'il put dire. Il n'avait jamais été très bavard, et l'éloquence n'était pas son fort, bien que si les circonstances l'obligeait, il était capable de convaincre n'importe qui. Mais là, les beaux discourts ne servait à rien, car lorsque ses l'amour qui nous fait vivre, il n'y a que le coeur qui parle.
Ils restèrent silencieux quelques longues minutes, et Roran les appréciaient chacunes plus les unes que les autres. Son seul regret fut la douleur qui le tiraillait dans sa jambe.
« Dès demain, j'irai voir les marchands. Ils auront certainement quelques meubles et autres à nous proposer. L'amoire devant l'entré tombe en ruine, sans parler de se lit très peu confortable. »
Il souriait à présent. Il allait faire des gros changement. Dans leur vie à tous les deux. Il faudrait qu'il soit le mieux possible dans leur petit nid douillet.
« Nous allons rajouter une pièce »
Avait-il dit avec ambition et fermeté. Il continua, relevant la tête de Katrina pour qu'elle regarde dans ses yeux, et dit avec toute la tendresse et l'amour qu'il était capable.
« Ca prendra du temps, mais peu importe, puisque nous l'avons, ce temps. Pour trois, la maison sera un peu trop étroite... »
Caché sous ses airs de dirigeant, il lui faisait une proposition. Mieux, une demande. Elle était là seule avait qui il voudrait et voulait avoir un enfants. La seuls qui soit capable de les porter en son ventre et de les faire naître. Et lui, il serait là. Là pour l'aider dans toutes ces tâches qu'elle avait accompli seule ces deux dernières années. | |
| | | Katrina Demoiselle Varden
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Sam 18 Aoû - 15:05 | |
| Heureusement, Roran savait faire la différence entre la guerre et la maison en sachant oublierdans un certain sens ce qu'il y avait vécu, ou bien de ne pas vivre des traumastismes en ordonnant à sa bien-aimée et de devenir violent avec elle. Quel supplice ce serait alors si cela devait à arriver... Mais Katrina pouvait voir toute la douceur et l'amour qu'il avait dans ses deux yeux gris qui n'arretaient point de la regarder avec la plus grande tendresse du monde. Mais il était la pour la protéger, pour l'encourager, l'aimer et tout se portait tellement mieux dans son coeur à présent.
La jeune femme avait voulu lui dire ce qu'elle avait sur le coeur tout de suite avant de le dire que quelques mois apres ou elle serait peut-être devenue dépendante affective de lui. Mais, faut dire que das ses bras, pour l'humaine, c'était le meilleur endroit au monde, entourée par de la chaleur et un amour plus qu'infini qu'elle espérat que jamais il ne se tannerait. Puis, elle l'écouta, la tête contre son torse sur les changements qu'il voulait apporter dans la maison et lui releva la tête lorsque celui-ci parla de rajouter une piece pour une future naissance évidamment. Tout cela redonna un grand sourire sur les levres de Katrina. Il voulait des enfants et elle aussi, et qui ne ferait pas autant un bon pere c'était bien lui et son propre pere qui les avaient élever avec brio tandis que le cien...
-Te voila à peine rentrer que déja les grands projets. J'accepte à une condition tout ce que tu me propose...
Dit-elle ayant un sourire malicieux sur ses levres qui avait sucité l'intéret de Puissant Marteau. Dans sa bras sans la possibilité et l'interet de s'y dégager, la jeune femme commencea par lui soutirer un baiser avant de lui soufller doucement et amoureusement dans l'oreille...
-Épouse-moi... | |
| | | Roran Général Varden / Admin
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Jeu 23 Aoû - 15:15 | |
| « Tout ce que tu voudras... »
Avait-il répondu, les yeux casiment implorant Katrina de ne pas trop le faire languir, et reconnaissant de ne pas s'être confronté à un refus catégorique de sa part...
« Si c'est dans mes moyens... »
Effectivement, il y aurait peut-être à présent des choses qu'il ne pourrait plus faire... Sajambe le ferait encore souffrir pendant longtemps, et il n'est pas dit qu'il guérirait. Mais peu importe, si c'était le prix pour pouvoir être ici avec elle, alors il le payerait sans hésitation, même s'il était conscient qu'il ne lui rendait pas la tâche facile...
Katrina avait prit un sourire plein de malice qui fit frissoner Roran de plaisir. Devenu muet, il attendait le moment où sa langue se dénouerait... Mais d'abord, la belle jeune femme avait rapprocher son visage du sien, et avait posé ses lèvres sur les siennes. Il passa ses bras autour de son corps, ne voulant plus la laisser partir, l'embrassant avec fougue et amour. Avant qu'elle ne lui eut dit la fameuse condition, il l'avait deviné. Ce baiser lui en avait dit long et le plasir que lui apporta sa demande l'obligea à s'emparer encore une fois de Katrina et lui offrir un baiser affirmatif. Ils allaient finir se qu'ils avaient commené il y a si longtemps de cela. Et la joie que cela apportait à Puissant Marteau le fit oublier l'espace d'un instant tous ses soucis, toute sa douleur, tous ses regrets, tous, sauf son amour pour elle. A so tour, il souffla :
« Je t'aime, je t'aime, je t'aime. »
Il n'en avait d'ailleurs jamais douté. Et jamais il n'en douterait. Sentant une chaleur soudiane lui prendre le corps, il se souvint qu'il avait des centaines de killomètres dans les jambes, et qu'il tombait de fatigue. Doucement, il se sentait attiré vers ce matelas qui lui tendait les bras. Doucement, il se laisser aller, s'alongeant, mais ne l'achant pas pour autant la femme de sa vie, sa futur épouse. Il voulait sentir son odeur, ses cheveux, sa peau, sa chaleur, son amour, pour que qu'il puisse enmener avec lui dans son sommeil les plus belles images que la vie pouvait offrir. Il ne voulait pas s'aspoupir de suite, et tentait déséspérément de garder les yeux ouverts pour la voir, la voir et la voir. C'était la seule chose qui comptait. La voir, et la voir heureuse. Qu'il avait d'autre à part fair ele bonheur d'une femme ? Katrina lui avait été offert par la vie et il comptait bine la remercier à chaque minutes passée à ses côtés. | |
| | | Katrina Demoiselle Varden
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Jeu 23 Aoû - 17:03 | |
| Katrina était tellement heureuse qu'il soit de retour, vivant pour combler le vide qu'il lui avait laissé en partant lors de leur mariage. Tout cela lui avait jadis briser le coeur, mais à présent, elle remerciait tous les dieux qu'elle connaissait pour enfin avoir retrouver son tendre amour à ses cotés. Ses blessures finiraient par guérir, la jeune femme en avait bien confiance et lorsque Roran ira mieux, ils pourraient faire tous les projets communs qu'ils avaient en tête soit de se marier, d'agrandir la maison et avoir des enfants. Mais en même, celle espérait qu'enfin cela soit la bonne fois, car lors de leurs premieres fianceailles secretes, cela n'avait pas vraiment tourné comme ils l'auraient voulu et à la deuxieme, si pres du but Puissant Marteau avait dut la quitter pour la guerre.
Parcontre, cette fois-ci, l'humaine ne le laisserait plus repartir. C'était peut-être égoiste, mais elle avait tellement été seule lors de son absence sans savoir s'il était vivant ou mort. De nombreuses fois elle avait pleuré et maudit cette guerre affreuse pendant leurs deux années de séparation ou le général rebel ne voulait plus la lacher de ses bras et réopndant à son baiser avec un amour qui ne s'était jamais éteint et qu'il refit à plusieurs reprise tellement il était heureux par sa petite demande. Mais apres quelques minutes, la fatigue de son voyage se reprit et doucement Roran s,allongea dans le lit qui étai pourtant un peu petit pour les deux amants, mais toujours sans la lacher, ils se collerent tandis que les yeux de son fiancé et bientot époux se fermerent et la jeune femme lui donna un baiser sur son front avant de s'éloigner de son étreinte durant quelques minutes.
*Voyons voir cette jambe à présent...*
Katrina n'avait pas encore sommeil et remonta doucement le pantalon pour y voir sa jambe en mal condition. Heureusement, la mère de la jeune femme avait été guérisseuse pendant un certain temps et la demoiselle se souvenait encore de quelques trucs. Puissant Marteau avait mis un tissu bien serré pour que le sang ne se répend plus ce qu'elle enleva tout de suite, car sinon la jambe pourrait pourir et il faudrait alors la couper. Doucement elle massa les muscles pour y voir le sang revenir dans un grand soulagement. Celle-ci passa quelques feuilles pour aider l'entaille toujours profonde et fit un pansement autour espérant que dans les prochains mois tout irait mieux.
Puis, remettant le pantalon avec la plus grande des délicatesse, la jeune femme revint à ses cotés dans lle lit en s'y collant affectueusement. Celui-ci ne sembla pas s'avoir réveillé durant sa petite medecine et rapidement elle ferma les yeux pour mettre quelques couvertures sur eux pour s'endormir en étant la femme la plsu heureuse qui soit au monde. | |
| | | Roran Général Varden / Admin
Nombre de messages : 989 Armes : Marteau Race : Humain Date d'inscription : 12/11/2006
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Lun 24 Sep - 22:00 | |
| (*se met à genou pour se faire pardonne,r les yeux du chat dans shrek *)
Roran s’était endormi comme une masse. Jamais il n’aurais cru que son sommeil avait tut être aussi lourd. Il s’était habitué à ne dormir que sur une oreille, et ne s’était pas rendu compte du retard qu’il avait dans ses heures de sommeil. Mais comme de la poussière sur une étagère, cette habitude de guerrier disparut cette fois ci, balayer par le doux chant de la nuit tombante à ses oreilles, un nuit calme et rassurante. Un nuit aux parfums exquis de la cannelle et du miel, aux odeurs délicates de son ancienne vie et de son amour. Et comme par enchantement, retrouvant ses sensations comme s’il les avait quitté la veille, le cœur de Puissant Marteau se desserra lentement. Toute la peur contenue de ces longues journées éprouvantes, toutes cette tension des chemins douteux, tous ses souvenirs et ses pensées qui hantent un homme seul, peu à peu, s’envolèrent.
Pour cette nuit, cette nuit au moins, Roran rétrogradait, tel un nourrisson encore intact de l’empreinte rugueuse de la vie. Auprès de lui, malgré son état second, il poussait sentir la présence de la plus belle source de pureté qu’il n’eut put jamais rencontrer. La source même de ses envies et de ses pensées. Chaque instant, chaque respiration étaient une marque de reconnaissance et d’attachement envers cette personne si spécial, autour d’un halo éclatant aux yeux de l’homme. Devant une tel apparition, la seul chose dont il était certain était son amour pour elle, aussi longtemps qu’il serait animé par le moindre souffle de vie.
Puissant marteau fut réveillé par le chant des oiseaux. A en juger par l’éclairage, la journée était déjà bien avancée. Son premier réflexes fut de baissé les yeux vers la où se trouvait Katrina avant qu’il ne tombe dans les bras de Morphée. Il ne restait que des plissures sur les draps, témoignant de sa présence. Espérant qu’elle fut dans le coin, Roran releva le buste et entreprit de s’étirer dans couvertures dont il était prisonnier. Il batailla pendant quelques minutes, la chose n’était pas facile avec sa jambe douloureuse. En plus de devoir la manier avec beaucoup d’attention, Roran était contraint de sérer les dents à chaque contraction de ses muscles, et finit par porter sa jambe avec ses mains pour se mettre en position assise sur le bord du lit. C’est à cet instant qu’il s’en rendit compte. Evidement, la douleur était très forte, et lui lançait tout le long de son membre, cependant, il lui semblait beaucoup plus supportable, beaucoup moins grave et beaucoup plus légère. Non, encore mieux, il se sentait assez fort pour pouvoir supporter sa convalescence, même si elle durait tout le reste de sa vie. Car après tout, peu lui importait de clopiner tant qu’il pouvait se mouvoir lui-même. De plus, la personne qui avait pris son de sa jambe la veille semblait elle aussi de cette avis.
Il se baissa et ramassa la canne en bois en souriant, et sans se presser, passa la tête dans l’entrebâillement de la porte. Ne voilant personne, il se déplaça toujours avec lenteur dans la cuisine, le spectacle n’avait rien de gracieux, mais malgré cela, il souriait. Cela faisait bien longtemps qu’il ne s’était pas senti vivre. Ses yeux balayait les pièces de droites à gauches sans s’arrêter. Il cherchait quelque chose, ou plus exactement quelqu’un. Quelqu’un qu’il ne trouva pas, et lorsqu’il sentit sa souffrance lui rappeler qu’il ne devait pas bouger, il ouvrit la porte d’entré, sortit, et s’assit sur une chaise à l’extérieur, braquant ses yeux dans le vague, se disant que Katrina était certainement aller faire un tour dans la ville en attendant son réveil longuet. Il pinça les lèvres, se demandant si elle était véritablement là-bas, et s elle s’en sortait. Faites que personne ne l’embête ! A ses pensées, Puissant Marteau esquissa un sourire, comment avait-il put la laisser seul pendant plusieurs années, alors qu’il ne supportait pas qu’elle s’absente une matinée ? | |
| | | Katrina Demoiselle Varden
Nombre de messages : 231 Armes : Ce qu'elle retrouvera dans sa vie... Race : Humains Date d'inscription : 03/12/2006
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Mar 25 Sep - 2:20 | |
| (tu avais dit petit lol... ps je t'adore^^)
C'est en dormant dans un lit qui était maintenant partagé que Katrina réalisa ce que Roran voulait dire par changer de lit, car il fallait dire qu'il n'y avait pas beaucoup de place malgré que les amants étaient très collés l'un contre l'autre. C'était une chaleur tellement bien faisante, qui lui avait manqué, celle qu'elle avait essayer de se rappeler toutes les nuits depuis son depart. Il avait une maniere de la faire sentir bien juste avec sa présence et la jeune femme ne voulait plus jamais qu'il la quitte. Si cela adviendrait que Puissant Marteau doive encore partir pour la guerre, c'était clair dans sa tête, jamais elle pourrait y survivre une autre fois et cela c'était certains. C'était une présence réconfortante, de se sentir en sécurité, aimée et de ne plus être seule à regarder par le lointain en se demandant s'il était encore vivant ou non.
Le lendemain matin, l'humain ouvra les yeux en remarquant que Roran était bien là, mais aussi comme un ours qui hibernait, il semblait totalement inréveillable, alors, Katrina se leva décidant de préparer un petit déjeuner qui serait surement bien meilleur que les plats que les soldats avaient. Descendant l'escalier en faisant le moins de bruit possible, elle regarda ensuite les quelques réserves qu'il y avait. La jeune femme voulait essayer de le surprendre, de lui faire un repas au lit auquel cela lui éviterait de bouger avec sa jambe blessée. Remarquant qu'il manquait de petits fruits, mettant un chale sur les épaules à cause de la température qui devenait de plus en plus fraiche, celle-ci quitta la maison quelques temps afin de trouver quelques baies qui poussaient pres de la maison. Pendant ces 2 années, la fiancée avait tout découvert des environs et savait comment en récolter les fruits.
Remplissant son panier de framboise, Katrina revint alors sur ses pas. Elle évitait le plus possible d'aller au marché dans la ville,car elle détestait cela. Ceux qui la connaissait de vue l'avait souvent traiter comme une folle d'attendre aussi longtemps un mort, mais aujourd'hui elle avait la preuve qu'ils avaient eu tord. C'était peut-être aussi le fait que quelques uns lui tournaient autour et la jeune femme détestait cela. Finalement, elle reconnut une silouhette familiere qui avait l'air de s'emmerder pendant son absence. Le rejoingnant rapidement avec un grand sourire, l'humaine vint l'embrasser avant de lui glisser une framboise entre ses levres avec douceur.
-Je croyais que tu aurais dormi plus longtemps. Tu aurais pu rester au lit, je serai venue avec ton repas d'ici quelques minutes. Et le pire est que dans ton état tu te leves quand moi j'en avais même pas le droit...
Dit-elle avec un sourire moqueur. Il y aurait eu un temps ou Roran pour lui faire payer ses propos l,aurait prit dans ses bras et l'aurait porter au lit pour l'embrasser jusqu'à ce qu'elle demande grace, mais maintenant ce n'était plus possible. C'était certain que s'il adviendrait quelque chose, il ne pourra la défendre, du moins, il n'avait pas la force encore de son temps et Katrina avait peur d'avoir perdu cette partie de lui, d'ou ses larges épaules et ses bras avaient jurer de ne laisser personne lui faire le moindre mal. Parcontre, jamais rien ne lui fera arreter de l'aimer à la folie et plus que tout. | |
| | | Roran Général Varden / Admin
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Dim 30 Sep - 19:07 | |
| Puissant Marteau balaya l’étendu visible de son regard, comme s’il désirait faire entrer chacun des détails ici présent dans un coin de son cerveau, pour ne jamais les oublier, et aussi pour voir le moindre changement qu’il pouvait survenir à ce décors. Cette deuxième attitude, un peu moins romantique que la première, était le résultat de sa vie de guerrier. Jamais il ne perdrait son comportement de combattant fier et aguerrit. Il en était conscient, et ne tentait même pas de le nier. Malgré le boitement, il ne remettait pas en cause sa participation aux conflits qui se déroulait ; il était convaincu qu’il ne savait rien faire d’autres. Il avait su, un jour, il y a bien longtemps de cela. Mais c’était bien loin, bien trop loin pour qu’il puisse regretter. Il avait fait se qu’il avait du faire. Il était persuader que c’était ainsi qu’il se rendait utile. Utile pour le bonheur de tous.
Et surtout celui que la silhouette encore lointaine qui se découpait dans le paysage. Un pan de tissu virevoltait autour d’elle. Dans l’éclat du jour et du Soleil, Roran en était presque éblouit. Il en avait vu, des choses horribles, des abominations, des trahisons et des crimes abjectes. Il en avait vu de très près, par moment étant lui-même l’acteur de ces atrocités, lui, et d’autres qu’il nomme ’compagnons’. Il y avait beaucoup de chose dont Roran n’était pas fier, mais avait réussit avec le temps à ne pas s’en tourmenter. Il ne cachait pas sa responsabilité sous son devoir, prétextant qu’il devait le faire, et qu’on lui en avait donné l’ordre. Non. Il avait pris l’entièrement responsabilité de ses actes, et avait agit par choix, comme il l’eut tout le temps fait. C’était son choix, et derrière ses idéaux de vie prospère, chacune de ses actions se remplissaient de sens, même si elles n’étaient franchement à son avantage.
Mais à ce moment, les yeux absorbés par la vision quasiment divine que le vie lui offrait, c’était bien la dernière chose à laquelle il pensait. Son esprit n’était rempli que d’amour et de fierté. Katrina était l’allégorie vivante de ses deux sentiments que ressentait Roran envers elle. Il tendit ses lèvres en embrassant la jeune femme, et en profita pour lui caresser la joue au passage. Il croqua le fruit entre ses dents, et mit un pouce en l’air.
« Délicieuse Kat’. Rester dans un lit vide n’est pas très attrayant, je préférais amplement avoir l’occasion d’assister à ton retour. »
L’homme se leva en s’appuyant sur l’accoudoir de la chaise, et passa dans le dos de la ravissante créature. Il l’enlaça dans ses bras et mis sa tête vers son oreille, penchant ainsi un peu pas tête en avant. Il avait un sourire sur les lèvres ; la phrase de Katrina avait fait remonté une flopé de souvenir en lui.
« Je suis un futur mari qui exerce son affreuse tyrannie sur sa femme qu’il aime tant. »
Effectivement, lorsque la femme en question fut en grand état de fragilité, jamais Roran ne lui aurait permis le moindre effort, même si cela aurait put la gêner. Cependant, dans l’autre sens, cela ne devait pas s’appliquer. Il était normal que l’homme de la maison veille sur sa famille même avec exagération de temps en tant. Ce n’était pas sa faute s’il était autant dingue d’elle.
Pointant un doigt en avant, en dessous des escaliers du perron, il demanda, sans relâcher Katrina de son emprise :
« Que dirais-tu d’une balançoire, juste ici ? On la verrait de la fenêtre de la cuisine… » | |
| | | Katrina Demoiselle Varden
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| Sujet: Re: Apres la pluie, les jours heureux... (pv Roran) Dim 30 Sep - 20:04 | |
| Contrairement à sa pensée, le bonheur de Katrina se faisait par la présence de son être aimée et point par le fait qu'il serait partit au loin risquer sa vie pour la liberté, malgré que c'était la sienne. La jeune femme ne voulait plus jamais penser à ses jours de desespoire qui avait été long pendant des journées à prier à ce qu'il revienne ou qu'elle sache enfin ce qui s'était arrivé et si elle avait encore une chance d'espérer son retour. Sur tout ceux qui savait son nom, ou plutot celui de Puissant Marteau, on disait que comme son cousin, il avait été tué par les soldats de l'Empire et qu'elle était folle de toujours espérer. Mais l'humaine n'avait pas d'autre choix que d'attendre et de toujours attendre jusqu'à ce qu'il revienne dans ses bras pour lui redonner enfin une raison de vivre. C'était certain qu,elle ne survivrerait plus à un autre départ ainsi et cela serait pas juste de pleurs dociles comme la derniere fois. Elle ne voulait plus le perdre...
Katrina s'était empressée de revenir rapidement en le voyant. Il était heureux et cela se voyait bien des ses yeux de couleur gris tout comme dans les yeux marons de la jeune fiancée de 21 ans qui commenceait à devenir vieille fille ainsi. De multiples filles de son age étaient déja mariées et avaient déja plusieurs enfants sous les bras, chose qui celon elle ne devrait tarder en y pensant bien.
Puis, Puissant Marteau se releva, sans aide et fier pour venir en arriere de sa future épouse. Mais rien n'était encore malheureusement sur et dans un sens, l'humaine le verrait lorsqu'il serait en avant d'elle pour lui dire qu'à tout jamais ils seraient unis par un amour fou qui ne s'étindrait jamais. Il passa ses mains contre son ventre, l'encerclant dans uns infinie douceur avant d'approcher sa tête pres de son oreille. Pendant ce temps, la jeune aimée avait tout simplement fermer les yeux pour savourer le moment. Un moment attendu depuis si longtemps en effet. Il fit son petit commentairequi la fit sourire davantage.
-Alors heureuse je serai d'avoir un tyran qui veillerait sur moi, qui fera en sorte qu'aucun mal me sera fait et qui me chérira jusqu'à la fin des temps....
Mais sur cela, une larme vint couler sur la joue de Katrina. Elle ne pouvait croire qu'il était la encore. La jeune femme ne voulait pas s'éveiller de se reve qui aurait laisser sa vie d'hermine noire et sans but. Alors l'humaine se retourna tranquillement pour placer sonr egard dans ceux de ce général respecté de tous.
-Comme tu veux... Tu pourras t'y asseoir et comptempler ton domaine. Mais tu avais raison hier soir, le lit devient trop petit, parcontre cela ne me dérenge pas vraiment... | |
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