Paradisiaque.... Pv Emara

Garjzla était étendue de tout son long sur la plage chaude et bienveillente de Beirland. Elle dormait profondement, pensant à son passé, ses avantuers avec Emara et son dragonnier, son emprisonnement à Uru'Baen... Plus loin Fahrod, l'étalon argenté, broutait l'herbe, sous l'ombre protectrice des palmiers accueillants. Une ile parfaite et sans défauts.... Tellment tranquille et isolée..... Personne n'oserait les déranger. Soudain, dans le ciel, un battement d'aile sonore se fit entendre. Une ombre titanesque se déssina sur le sable fin. Fahrod hennit, Garjzla elle dormait toujours.

Cette ombres se dessinant paisiblement sur le doux sable blanc, n'était nul autre que celle de Emara. S'étant laissée bercés par le courant du vent tel un lit forgé de limbeau d'aurore, elle faisait aussi peu de bruit que les nuages s'étirant à l'horizon. Après voir commencé sa mission, elle n'avait pu se résoudre à l'achever, trop de souvenir réapparaissent. Des souvenir merveilleux qui mêlé à leurs futur devenait plus ténébreux que la nuit éclairant seulement de ses étoile une terre désolé endormie. Elle repensait sans cesse au passé...Dabord Garjzla... Ensuite Elorak... Maintenant Eldar... Tout portait à croire que sa vie ne se résumait qu'à l'échec, et au son nacrés de ses larme tout portait à croire que s'était en effet la raison. Mais Emara ne trouvait pas sa vie triste, elle était seulement las, las de ce monde, las de ses larme, las de ses guerres, las des souvenirs. Les souvenirs... Comme elle les haïssait! Sans eux pas de remord, pas de tristesse, pas de perte. Elle rêvait d'un monde innocent ou tous ne serait plus dévoilé, tel la corolle d'une rose s'ouvrant à l'annonce de l'été. De ses cerf galopant dans les plaines torride, traînant sous leurs pas un murmure fébrile semblant clamer en son âme que le temps était impartit, semblant rêvé d'un monde ou soleil et mer ne ferrait qu'un réunissant les passion, les joie, les lendemain. Un monde ou vivre l'instant présent serait essentielle. Dans celui là il l'était, il l'était mais personne ne le voyait, ou peut-être que tous l'ignorait. Quoi qu'il n sois elle détestait se monde qui n'avait comme valeur qu' ambition vanité et pouvoir. La était aussi les problème de l'Alageasia, personne n'écoutait son propre corps, la nature... Les Elfes le faisait parfois, quand ils avait le temps, et au lieux de cherché à comprendre,ils préparaient la guerre, d'infime bataille laborieuse et interminable qui à terme réduirait le monde à un nimbe de cadavre... C'était pour cela qu'elle s'était rendu sur les îles, pour fuir la réalité, du moins un temps, elle ne supportait plus le monde tel qu'il était et ne voyait pas le moyen d'y remédier. Peut-être la solitude l'aiderait-t-elle à réfléchir. Elle l'espérait! Pourtant, plus elle approchait, plus elle sentait une présence, et elle voyait un silhouette blanche, se fondants avec la sable qui était pourtant bien familière à ses yeux...

*Garjzla?????????*

Hurla-t-elle télépathiquement

J'ai verrouillé le sujet, dimanche il sera mis à la corbeille sauf avis contraire de votre part.

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