Jdr-Eragon
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 Naaday, fille d'Arya et d'Eragon

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Naaday
Princesse Elfe
Naaday


Nombre de messages : 13
Age : 30
Armes : Aucune
Race : Elfe Dragonnière
Date d'inscription : 03/06/2007

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MessageSujet: Naaday, fille d'Arya et d'Eragon   Naaday, fille d'Arya et d'Eragon Icon_minitimeMar 5 Juin - 19:20

Votre perso


Nom : Inconnu
Prénom : Naaday
Surnom : Naad’ ; Différence (pour ceux qui oses) ; ainsi que tout un tas de titres royaux (« Princesse » etc…)
Age : 6 ans pour l’instant
Race : Elfe Dragonnière

Description physique (6 lignes minimum): S’il y a une personne hautement fragile dans ce monde, une personne qui pourrait facilement se briser en morceau, il s’agit bel et bien de Naaday. Déjà à la naissance, les médecins et magiciens d’Ellesmera durent unir toutes leurs forces et leur savoir pour maintenir la petite en vie. Atteinte de la maladie d’Upsylone, un syndrome extrêmement rare et impossible à soigner, la jeune fille est vouée à posséder un corps des plus squelettiques. Sur ses frêles os, aussi cassables que du verre, une peau translucide virant au gris bleuté est déposée tel une surface de chair absolument inutile. En effet, il est très aisé de distinguer sous ce teint transparent le nombre complet de ses veines et vaisseaux sanguins, ce qui est sans doute la cause des reflets si spéciaux de son épiderme. Naaday pourtant si jeune, est semblable à un fantôme. A première vue, il est presque improbable de l’associer à son statut qui est celui d’enfant. Cadavre lui irait beaucoup mieux. Mais en l’observant davantage, en la connaissant un peu plus, on retrouve chez elle les jolis trais fins et gracieux de sa mère et son aïeule, ainsi que ceux de son défunt père. Hormis ses pommettes creuses et maigrichonnes qui assombrissent son visage, la jeune Naaday possède des yeux merveilleux à transpercer le cœur de n’importe qui. Souvent, il est dit que les yeux sont le reflet de l’âme. Et bien, dans le cas de la jeune fille, ce dicton est terriblement véridique. D’un bleu très clair grisonnant, se mêlant dangereusement à la couleur de sa peau, ses yeux légèrement en amande expriment en un seul et unique regard toute les caractéristiques de sa personne, ses espoirs, ses peurs, mais aussi la souffrance rudement dissimulée de sa maladie. Etrangement pétillants de vie, ils offrent à la jeune fille un soupçon d’existence que tout le reste de son être ne peut lui accorder. Dans ses pupilles étonnamment émotionnelles se dessine l’espoir qui anime le cœur de Naaday, celui de pouvoir continuer à rêver alors que la vérité est affreuse. Terriblement affreuse. Son syndrome mortel restreint à chaque instant sa durée de passage sur Terre. Et c’est à travers son regard bouleversant que l’on oublie son handicap, comme si la jeune fille souhaitait faire comprendre aux autres, sans le vouloir ni le savoir elle-même : « Arrêtez de me regarder avec pitié. Tant que le rêve et l’imagination existeront, je survivrais. » Son visage, presque effacé par ses yeux foudroyants, garde toutefois un joli ensemble d’harmonie et de paix. Sa bouche bleutée, légère et fine, est très souvent à demi entrouverte pour laisser apparaître une rangée resplendissante de dents blanches comme neige. Car oui, la petite sourit. Constamment. Mais ce n’est pas un sourire que l’on pourrait qualifier de joyeux, ni même d’heureux. Il est triste et contredit terriblement l’animosité qui s’agite au fond de ses yeux. Pourtant, la petite Naaday resplendit de courage, d’une force incroyable et sans limite, l’héritage le plus précieux de ses parents. Venons-en, maintenant, à cette ressemblance familiale. Tout comme sa mère, la jeune princesse est dotée d’une grâce quasi-féline, et bien que sa démarche soit encore maladroite, elle possède une allure magnifique à l’exemple d’Arya. Mais c’est sans doute ici que s’arrêtent les liens physiques entre la reine et sa progéniture, au grand regret des Elfes qui auraient sans doute souhaité une future souveraine « de pure souche ». Naaday ressemblant d’avantage à son père Eragon, autrement appelé « Le tueurs d’Ombres », est souvent prise pour une humaine. En effet, ses oreilles, symbole imminent de la race suprême, sont beaucoup plus raccourcies que celles du beau peuple, mais plus longues et pointues que celles des humains. Alors que chacun des habitants d’Ellesmera possèdent un cuir chevelu raide comme des baguettes, aux couleurs argenté ou noir corbeau, elle, fait exception à la règle, une fois de plus. Ses cheveux, d’un châtain légèrement noirci, ondulent follement tout autour de son maigre visage. Non complexée par son anorexie malveillante, Naaday ne fait, pour ainsi dire, aucun effort pour cacher ses formes osseuses et sa peau bleutée. Au contraire, elle aborde des vêtements gris transparents, larges et vaporeux. Cet accoutrement renforce ses aspects fantomatiques, le rendant encore plus irréelle qu’elle n’en donne déjà l’impression. Un spectre éblouissant, voila ce qu’elle est.

Description du caractère (6 lignes minimum): Différente. C’est sans doute l’adjectif qui lui serait le mieux approprié, parmi la bonne centaine qui la qualifieraient. C’est aussi celui qui lui a valut son fameux surnom, celui que personne n’ose prononcer en sa présence, si ce n’est elle-même. Renfermée et affreusement solitaire, la jeune Naaday est tout ce que l’on pourrait imaginé de pire du point de vue social. Comme emprisonnée dans sa petite bulle, incomprise du reste du monde, elle ne communique avec presque personne. Au début, on eut crut que la petite était muette. « Sans doute un défaut de plus à sa maladie », disaient les chercheurs pour « rassurer » la mère de la petite. Mais, petit à petit, ils purent constater qu’ils avaient fait une grosse erreur. Elle parlait, c’était une évidence. Mais toute seule.
Parfois, elle prononce quelques paroles, en vrac et en désordre. La plupart du temps, ce qu’elle raconte ne veux rien dire, n’a aucun sens, aucune logique. Dans son monde imaginaire, celui qui trotte et persiste dans son esprit d’enfant, rien n’a de limite, tout est possible lorsqu’on y croit. Naaday est en quelque sorte atteinte de folies intérieures, comme pourchassée par des démons dans un pays où n’existent que rêves et poussières de fées, où les plantes et l’air savent s’exprimer aussi bien que les humains. Pourtant, tout n’est pas parfaitement rose dans le flot de ses pensées. Très souvent, elle visualise des images dont elle ignore la conception, l’origine et le but. Des flashs du passé, du présent, de l’avenir et même parfois, d’une autre dimension, peut-être la sienne. Rejetée des enfants de son âge, mais acceptée de par son titre glorieux, la jeune demoiselle est considérée avec pitié par nombreux des membres qui l’entourent, avec tendresse par sa mère et son dragon, ainsi qu’avec une honte dérobée, celle du peuple. Mais tout ceci, elle ne s’en soucie pas. Trop occupée à imaginer et s’accrocher à la vie, la princesse elfique ne s’intéresse pas aux gens qui l’entourent, ou très peu. Pour être franche, seul son dragon, Idril, arrive à obtenir une conversation à peu près normale avec la petite. C’est le seul être qui puisse la comprendre réellement, qui arrive à l’aimer sans la craindre. Cette peur que les habitants d’Ellesmera ont au fond d’eux et cache pour ne pas faire souffrir Naaday, est sans doute liée à un fait néfaste, qui s’est aggravé avec le temps. Selon les dires des magiciens et des grands sages, la jeune dragonnière serait une sorte de lien, d’interprète, entre les morts et les vivants. Toute cette hypothèse ne peut être certifiée, leurs connaissances étant trop limitées pour leur permettre d’élucider tous les mystères de ce monde, toutefois, quelque chose les maintiennent dans leur conclusion. La petite ne parle jamais à elle-même, comme beaucoup le croient et l’ont cru aux premiers abords. Non, elle communique avec son père. Son père qui a rejoint l’haut de-là.
Depuis son plus jeune âge, ou du moins depuis qu’elle a prit usage de la parole, son seul refuge est celui de communiquer avec lui, dans sa bulle. Ce manque, celui de ne pas avoir de père à ses côtés, est sans doute la cause de sa folie, de sa dangereuse indépendance. Bouleversée par cet être qui n’est pas présent, Naaday s’imagine qu’il est toujours parmi eux, ou du moins, qu’il lui est encore possible de se confier à lui. Cette sensation d’abandon est renforcée par le temps réduit qu’elle passe en compagnie de sa mère. Arya étant très occupée par les guerres et autres missions, n’accorde que très peu de sa patience à son enfant, bien que cela lui déchire le cœur de devoir la délaisser ainsi. Mais ça encore, Naaday n’en souffre pas, du moins, c’est ce qu’elle croît. Avec un tel caractère où tout n’est que mensonge et pure imagination, il était évident que la jeune fille ne pourrait en aucun cas « s’affirmer ». Terriblement influençable et naïve, elle croit presque tout ce qu’on lui dit. Etant donné que dans son monde tout est faisable, toutes paroles aussi grotesques soient-elles, ont un sens particulier à ses oreilles. Sa faiblesse mentale et physique (car oui, rappelez-vous que sa consistance n’est qu’une frêle ossature cassable au moindre choc, abîmée de jour en jour par la maladie) étant d’une importance aussi royale que son sang, la jeune fille est très facilement émotive et arrive à fondre en larme rien qu’en observant les pétales d’une fleur trop belle pour exister. Face à une personne aussi fragile, les conseillers d’Arya tentèrent par n’importe quels moyens de trouver une solution pour la protéger des éventuels agresseurs et préserver ainsi, la lignée royale. Et cette délivrance, l’une des rares personne à pouvoir faire la traduction entre elle et le monde, n’est autre qu’Idril, son fidèle compagnon, son ami et son protecteur. C’est sans doute grâce à lui qu’elle sourit constamment, qu’elle s’amuse comme une petite folle (et c’est le cas de le dire). De par sa présence, elle devient beaucoup plus ouverte, quoi que toujours aussi insociable. Si par hasard quelqu’un arrivait à devenir aussi compréhensif qu’Idril avec Naaday, cette personne arriverait à trouver chez elle, plusieurs choses rarissimes et très difficiles à déceler chez les autres : l’espoir de continuer à vivre, le rêve d’exister à jamais. Et ça, c’est ce qui fait toute sa différence.
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MessageSujet: Re: Naaday, fille d'Arya et d'Eragon   Naaday, fille d'Arya et d'Eragon Icon_minitimeMar 5 Juin - 19:22

Histoire/Passé (15 lignes minimum):

« Idril, l’arbre te salut. Veux-tu que je lui rende son bonjour ? »
« Bonne idée. »
« Il dit que tu es beau et que ta couleur resplendit sous les rayons du soleil couchant. »
« Alors, cet arbre est vraiment gentil et cordial… N’est-ce pas ? »
« Oui, et comme toi, il est mon ami. Pour toujours.»

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Fille d’Eragon le tueur d’Ombre et d’Arya, la princesse des Elfes, Naaday est née peu de temps après la mort de son père, après « La fin du monde ». Considérée comme le futur prodige, la prochaine héritière des terres elfiques, le peuple plaçait en elle beaucoup d’espoir ainsi qu’une attente inestimable. Peut-être était-ce une erreur de croire si fort en elle, de l’attendre avec une impatience aussi stupéfiante de la part d’un Elfe. Car dès le jour où Naaday vit pour la première fois la lumière de l’astre solaire, la nouvelle se répandit dans tout le royaume, tel un murmure terrifiant : « Elle ne survivra pas ». Sept jours, et sept nuits. Ce fut le temps nécessaires aux médecins pour désenvoûter le nouveau né des douces mélodies de la mort. Un vaccin efficace lui fut administré, un antidote provisoire qui ne serait qu’une bombe à retardement tout le restant de son existence. Une sorte de minuteur où chaque seconde la rapprochait un peu plus de la fin.
Suite à cet incident, la petite fut placée en observation, malgré les protestations de sa mère. A peine âgée de quelques mois, la voilà qui se retrouvait séparée de la femme qui l’avait mise au monde, de la seule famille qui lui restait. Pendant plusieurs mois, les sages et magiciens du royaume, étudièrent son cas, ne négligeant aucun détail, aussi mince et insignifiant soit-il. Au fur et à mesure que la petite grandissait, ils remarquaient chez elle des symptômes jusqu’alors inconnus. Constituée d’os dît « de verre », ainsi que d’une peau extrêmement sensible, l’enfant faisait vraiment peine à voir. On ne donnait pas cher de son avenir.
« Sa maladie est grave. Très grave. Il faut que vous sachiez que sa durée de vie est écourtée… »
Voila ce qu’on avait annoncé à la mère de l’enfant, après avoir fait le bilan de l’observation. Ce fut un choc pour beaucoup de monde, croyez-moi. Eux, tous ceux qui attendaient un « miracle », l’enfant qui bouleverserait le monde, voila qu’ils se retrouvaient avec une princesse aussi faible qu’un oiseaux blessé. Le beau peuple se posait la question : « Aura-t-elle la force de monter sur le trône, à son tour ? »
Puis, les années passèrent. Tellement lentement que s’en fut presque un bouleversement national. La petite présentait chaque jour, une nouvelle anomalie. Etrange, bizarre, incompréhensible… On ne savait plus vraiment comment la qualifier. Ni même comment la préserver.
Un jour, alors que Naaday allait bientôt sur ses quatre ans, on découvrit dans la forêt du Du Wedenvarden un œuf de dragon aux reflets rouge bordeaux. Protecteurs envers ces créatures mythiques, l’œuf fut ramené au palais dans les plus bref délais. Aussitôt, le beau peuple étant particulièrement avare, se présenta en premier pour tenter de devenir « le prochain dragonnier ». Tour à tour, les prétendants au titre se présentaient devant l’œuf, sans grand résultat. Par hasard, il se trouva que la jeune Naaday se promenait dans les couloirs et tomba nez à nez avec cette drôle de pierre rougeâtre. Intriguée, elle avait posée la main sur l’objet arrondis, et la coquille s’était mise à bouger. C’est ainsi que le lien se créa entre Idril et elle. A l’instant où sa paume effleura la créature, un nouveau record s’inscrivit dans les légendes d’Alagaësia : « Le plus jeune âge pour devenir dragonnier, jusqu’alors détenu par Galbatorix à ses dix ans venait d’être réduit à néant par Naaday, la princesse Elfe. »
Autant dire que la nouvelle fut comme une douche glaciale pour les valeureux combattants qui avaient désiré posséder le dragon. Arya et ses conseillers, quant à eux, furent tout bonnement ravis de l’arrivée d’Idril. Ils venaient de trouver en lui, le bouclier nécessaire pour protéger cette incarnation de la faiblesse.
Deux ans plus tard, rien n’avait réellement changé. La petite était toujours aussi différente des autres, aussi solitaire. Mais plus le temps passait, plus on l’appréciait, cette jeune malade. Attendrissante, bien qu’elle ne le veuille pas de son plein gré, le peuple commençait à s’habituer à ses sorties imprévues, à ses courses folles à travers champs et forêts. Il faut dire que depuis l’arrivée d’Idril, les habitants étaient plus rassurés au sujet de deux choses : La survie de Naaday, la survie du trône.

Affiliation/ Appartenance à un clan : Vardens pour l’instant…

Votre animal :


Prénom : Idril
Age : 2 ans
Race : Dragon

Comment l'avez-vous rencontré/trouvé/adopté ? : Voir histoire

Description physique : Idril, bien qu’assez jeune, est déjà de taille adulte pour un dragon. Ses écailles, rouges et bordeaux, étincellent d’un sombre affolant. Remarquable par sa couleur, il semble plus ou moins féroce selon les circonstances où vous le rencontrez. Aux premiers abords, Idril apparaît comme une créature sanguinaire et cruelle. Il faut dire qu’avec une carrure aussi imposante, il est difficile de l’imaginer doux et gentil comme un agneau. En y réfléchissant, Idril est une sorte d’opposé à Naaday, comme s’ils se complétaient l’un et l’autre. Elle qui paraît si faible, si vulnérable, insouciante et naïve est tout le contraire du dragon féroce, invincible et malicieux, qui lui fait office d’unique compagnon. Pourtant, sous cette apparence de titan, le jeune Idril fait preuve d’une générosité et d’une patience sans limite. Lorsqu’on commence à le connaître plus amplement, on s’aperçoit qu’en fin de compte, il n’est rien d’autre qu’un gentil dragon très très protecteur.

Description du caractère : Sociable, coopératif et compréhensif, le jeune dragon est ce que l’on pourrait appeler « une perle rare », quoi que parfois très « rentre dedans ». Doté d’une intelligence et d’une patience à faire pâlir un Elfe, il est sans nul doute l’arme la plus puissante jamais possédée par la famille royale d’Ellesmera. Pacifiste de naissance, il refuse toutefois de participer aux batailles et aux missions. Depuis tout petit, son seul but est de protéger Naaday, de la suivre partout où elle va, de la soutenir dans son parcours semé d’embûches. Il est le seul à la comprendre réellement. Non pas qu’il soit atteint de folies, comme elle, au contraire, Idril se base en partie sur ses connaissances psychologiques et sa tolérance pour tenter de résoudre le mystère qu’est sa jeune compagne. Depuis deux ans qu’il la suit et vit constamment à ses côtés, le dragon aux couleurs envoûtantes a bien eu le temps d’observer les habitudes et manies de la petite. Il a comprit que toute son imagination n’était qu’une feinte, une ruse pour ne pas voir et subir la triste vérité. C’était un moyen de se débarrasser de la maladie mais aussi de s’inventer un père qu’elle n’avait connu, comblant ainsi ce trou béant qui saignait abondamment dans sa poitrine. Alors, il la suit, dans ses délires exubérants, dans ses folles envies suicidaires, comme si refuser le laisser-passer qu’elle lui accordait était une offense à la petite. Idril est devenu son plus fidèle ami, son compagnon en lequel elle peut avoir une totale confiance. Sans lui, la jeune dragonnière serait morte bien des fois. Très protecteur, quiconque s’approche un peu trop de Naaday est soupçonné comme meurtrier. C’est pourquoi, il se montre parfois très agressif envers les personnes qui côtoient sa fragile princesse. Aussi, il est évident de vous prévenir : Quiconque tenterait de faire du mal à la petite subirait le goût enflammé de sa colère. A vos risques et périls, aventurier…

Code de Validation : Oops ! j'avais oublié ! Le voici : Surprised
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