En pleine épopée (Pv Fricai)

Fricai Andlat a écrit:: [DSL j'avais oublié se sujet ]

Fricai sentit sous lui la puissance de la jument. Et il vit briller dans ses yeux une intelligence pure et simple. Il grimaça dans l’ombre. Une jument elfique… Une idée lui tordit soudain le ventre : Elhemina était-elle une elfe ? Une seconde après, il en rigolait intérieurement : non ! Il s’en serait aperçut dans ses mouvements et à son physique ! A chaque foulée du cheval, un éclair de douleur lui coupait le souffle. Il haletait. Le soldat avait tranché profonds ! Le chat garou se rendit compte que la jeune espionne avait arrêté sa jument et qu’elle l’allongeait a présent sur une balle de foin. Il regarda autour de lui, les yeux plissés. Il se trouvait dans une espèce de grange déserte. Tant mieux. Son regard doré observa Elhemina sortir tout sorte de plantes et produits d’une sacoche en cuire. Elle lui donna un anti-douleur qui lui fit le plus grands bien. Il émit un léger ronronnement mais se tu vite car il sentait la fatigue fondre sur lui. Par la suite, il ne vit que des gestes flous, sentant qu’on le bandait soigneusement. Il sombra dans un profond sommeil.

Une grotte. Immense. Noire. Humide. Ses pattes mouillées. Ses oreilles dressées. Immobile. Il voulut bouger mais resta planter là. Paralysé. Une silhouette. Une ombre sur la paroi rocheuse. Un homme. Une épée à la main. Un grondement. Une masse ténébreuse. Un dragon au corps vert. Immense. Il ne l’avait jamais vu. Mais lui. L’humain. Il lui rappelait quelque chose. Mais son esprit embrouillé n’arrivait pas à se rappeler. Ils marchent en silences. Méfiants. S’immobilises. Fricai suis leurs regards. Reste bouche bé. Un œuf. Doré. Brillant. Sur une pierre blanche. Comme un roi sur un trône. L’homme tend la main. Le frôle. Hurle. Il s’écroule. Le dragon grogne. Il s’effondre. Les ténèbres envahissent la caverne. Un ricanement lointain. Un vieil homme observait la scène. Un prophète. Fricai sent son cœur s’arrêter. Tallagh, Talenka, Ashab. L’œuf. Les ténèbres les à tous envahis. Se vision n’est plus que noir. Il dors.

[On se fait la suite ailleur? Au Surda ou dans une autres ville?]

Elhemina avait fait un sorte de mettre le chat-garou dans une sorte de petit panier improvisé qu'elle avait relié à la selle. Dans le petit panier, elle y avait mis aussi son manteau de fourures qui pourrait le tenir bien au chaud et confortable durant le voyage. Les sédatifs avaient bel et bien fonctionner et pendant ce temps, la jeune femme avait piqué droit vers le sud. Apres une longue journée de route à éviter des grandes villes et bien cachée sous la cape noire qui la couvrait entierement, elle se conduisa à un lieu qui lui était tres familier: le désert du Hadarac. Elle avait vécu la avant qu'elle soit mise en esclavage.

La nuit commenceait à surgir et il commenceait à faire froid, alors l'espionne s'arreta dans un coin, toujours aux frontieres, car plus loin le désert pouvait se montrer insoupsonable. La Varden par son savoir faire fit un petit peu de brindilles pour se réchauffer et mit sa cape afin de se faire une petite tente improvisé en cas qu'il pleuvait. Mnageant doucement un morceau de pain qu'elle trempait dans un peu de la confiture tout en obsrevant la bête qui allait bientot se réveiller.

Un rêve ressugrit. Lointaint. Tout d'abors, le noir semblait avoir prit entièrement possession des lieux. Puis une lumière, la ba, écléra ses pfofonds abyss. Tel une étoile qui venait de s'éclairer, prête a faire sa veillée de nuit. Puis elle se rapprocha, lentement. Avec un bruit doux et régulier. Un crissement mélodieux. Qui s'arrêta net. L'étoiles devint soleil. Un soleil de plomb. Sur une immense étendue ocre. Il faisait chaud et sec. Un desert. Au loin, une silouhette volait en cercle. Un dragon. Immense. Noir. Aux écailles ténébreuses et aux reflets légèrements violets. Il était blessé. Fraicai sentait sa douleur. A moin que c'était la sienne... Puis un autre. Vert. Encore plus gros. Chevauché par un dragonnier. Le chat ne pouvait voir qui c'étaient. Ils partient vers l'horizon. Disparurent. Puis un gouffre s'ouvrit sous ses pieds.... Il tomba, tomba...

Fricai se réveilla en sursaut. Tout d'abord, il compris pourquoi il avait sentit la chaleur et la sécheresse d'un desert: ils étaient entourés de dunes. Ils? Oui, Elhemina était a ses cotés, prête a passer la nuit. Le regardant. Le chat garou s'étira, méfiant. Mais aucune douleure ne se fit ressentir. Après un ronronnement sonore, il bondit sur ses pattes et s'approcha d'un pas lent de la Varden. La fraicheur de la nuit se fit bientot sentir. Fricai se frotta doucement contre la jeune fille et dit:

*Merci...*

Elhemina était en train de terminer de manger quand elle remarqua que le chat-garou s'était enfin réveillé lorsque son regard fut admiré pendant quelques secondes par la jeune femme. Ses yeux réflétaient le peu de lumière que les flammes donnaient sur les dunes et Fricai s'étira pendant que la Varden prenait la derniere bouchée de pain qu'il y avait. L'animal s'approcha quelques instants apres tout en ronronnant pour la remercier des soins qu'elle lui avait donné avant de partir de la ville des prisons. La température se rafraichissait rapidement, mais dans un certain sens, vu que l'espionne avait passé son enfance ici, tout cela ne lui faisait plus rien dans un certain sens.

Puis, celle-ci prit un petit contenant de peut-être de la grosseur d'une petite assiette et prit la gourde qui était attaché à la selle de sa jument elfique Evelyn pour en prendre une gorgée, faire boire un peu son animal, puis rempli le contenant pour y verser le liquide pour y désaltérer l'espoir des Vardens dont elle s'occupait avec le plus grand des soins malgré tout.

-Tiens c'est pour toi, tu dois avoir soif, tu as dormi toute la journée grace aux médicaments.

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