La découverte

Le soleil tapait dur à cette partie de la journée. Il était prêt de midi et l’âtre du jour était haut dans le ciel d’azur. Pas un nuage ne gâchait cette merveilleuse journée. Il faisait chaud et sec. Trop même. Le sol poussiéreux recouvert d’une maigre végétation faisait peine à voir. Comment les plantes pouvaient pousser sous cette chaleur torride ? Aucun coin d’eau à l’horizon. Juste du relief. Et une route presque invisible. Ou plutôt, une longue ligne de sillons creusés par les passages fréquents de chariots en tout genre. C’était les Champs Anìba.

Un bruit de pas se fit entendre. Masqué par des bruits de sabots réguliers, frappants sur le sol sec. Le grincement des roues. Un cliquetis dû aux objets étalés sur le petit chariot. Un vieil homme assis a l’avant. Un brin d’herbe au coin de la bouche. Un bâton dans une main. L’âne qui tirait le paquetage poussa un braillement sonore. L’homme au visage bruiné par le soleil sourit et déplia ses longs doigts usés par le dur travail de fermier. Il tendit sa main libre derrière lui et s’empara d’un objet. Ou plutôt d’une pierre. Une magnifique pierre rouge et lisse brillant sous les durs rayons du midi. Une gemme parfaite et magnifique. Mais non. Le vieux le savait, ce n’était pas un simple caillou. Il était fier de lui. Il se souvint de sa chance comme si c’était hier.

Le vieux fermier était, il y a quelque jours de cela, allé au marché de son p’tit village pour y acheter de quoi nourrir sa femme et pour y vendre quelque patates. Rien de bien méchant. Et pourtant se jour la chance lui avait sourit. Un grand homme barbu avait devant lui un étalage de cailloux trouvé l’on ne sait où. Une avait attiré l’attention du vieux villageois. La gemme. Le vendeur n’avait aucune idée de ce qu’elle valait ni de se que c’était. Il l’avait achetait à un autre marchant hargneux pour pas cher. Il voulait l’offrir à sa femme mais elle était partie avec son gosse le soir même. Il avait décidait de s’en débarrasser.

Le vieux l’avait achetait pour quelques sous à un marchand qui la vendit sans savoir sa valeur immense. Un caillou est un caillou. Il avait décidé de l’amener à Aberon. Il voulait l’amener en personne au roi. Voilà se qu’il faisait sur cette route, se jour la. Il passa dans un village comme les autres, un sourire aux lèvres. Non, pas comme les autres. C’était son escale. Il s’arrêta, ou plutôt arrêta son âne et descendit, sa pierre en main. Il alla toquer à une porte et elle s’ouvrit. Liana l’attendait à l’intérieur. Elle lui offrit un sourire sympathique. Ce vieillard était un des seuls hommes qui la supportait. (lol^^)

« J’ai trouvé un trésor, tu ne devinera jamais… »
« Quoi donc ? »
« Un dragon… »

Son air mystérieux fit sourire la jeune femme :

« Tu délire ! »
« Non, regarde… »

Il lui montra la pierre. Elle ouvrit de grands yeux fasciné et la prit dans les mains.

« Waw »
« Comme tu dis… »

Liana l’invita à entrer. La soirée se passa à parler de l’œuf. Et la nuit tomba. Liana souhaita bonne nuit au vieillard qu’elle hébergeait pour la nuit. Elle s’était prit d’affection pour lui, mais surtout pour ses histoires de dragons et de dragonniers et voila qu’il apportait un œuf… Elle prit le trésor entre ses mains. C’était magnifique. Elle sortit dehors. La nuits, il faisait frais au moins. La varden se balada au clair de lui, l’œuf avec elle. Demain, ils partiraient. Elle aussi d’ailleurs : elle irait a Aberon. Elle allait avoir 18 ans et voulait rejoindre le gros des Varden pour contrer l’empire. Elle s’assit dans l’herbe et regarda les étoiles, l’œuf à ses cotés.

A l'intérieure de ce qui ressembler à une grosse gemme rouge, qui se trouvait sur l'étalage couvert de cailloux que leur propriétére, un grand homme barbu, avait réussi à se procurer l'on ne sais comment, dormait se que les personnes les plus bête et les plus ignorante aurait classer de gros lézard rouge. La gemme était en réaliter un oeuf, qui renfermer un bébé dragon rouge à crête de pointes. Si un elfe avait posé son oreille sur la surface lice et polie de l'oeuf, il aurait pu entendre un tout petit ronflement à peine perceptible, même pour lui.

La sieste du jeune dragonneau durait maintenant depuis prés de huit heures, et aurait pû se prolonger bien plus longtemps s'il n'avait pas sentit son oeuf bouger. Le grand homme barbu à qui il appartenait vener de prendre son oeuf et le tendait à un vieil homme au visage bruiné par le soleil qui prit l'oeuf entre ses longs doigts usés par le dur travail de fermier et commenssa à l'examiner et semblait très interréssé. Dérrière sa coquille d'où il voyait tout, le petit dragon observer aussi l'humain d'un oeuil critique. Cela faisait pas loin de 250 ans qu'il rechercher son dragonnier, mais cette homme ne le serait pas. Le dragonneau ne le sentait pas apte à le devenir. Mais de toute évidence, en atendant de trouver la personne qui lui irait, il devrait passer quelque tems avec le vieil homme, qui peilla son oeuf et alla le déposer dans une charette avant de repartir.

Pendant le chemin, il fut impossible au petit dragonneau de se rendormir, à cause des sursaut de la charette qui faisait de temps en temps rouler son oeuf ou se cogner contre la coquille. Il fut rassuré lorsqu'il sentit le vieil homme prendre son oeuf dans sa main libre. Puis, peut aprés, il arréta son âne dans un village et alla toquer à une porte, l'oeuf toujours à la main. Une jeune fille veint ouvrir et offrit un sourire sympathique au vieillard. Lorsqu'il la vi, le dagonneau sentit quelque chose d'étrange en lui, comme une sorte de puissente aiment qui le pousser à sortir de son oeuf. Mais non. Pas maintenant, pas ici, pas devant le vieil homme. Il voulait atendre d'étre seul avec la jeune fille. Les deux humains se mirent à parler :

-J’ai trouvé un trésor, tu ne devinera jamais… Dit le vieillard.
-Quoi donc ? Demanda la jeune fille.
-Un dragon…
-Tu délire !
-Non, regarde…
-Waw !
-Comme tu dis…

La jeune fille invita le vieil homme à rentré, et il passére la journée à parler de lui, bien que le dragonneau ne les entendit pas, car il c'était rapidement rendormi. Il ne se réveilla qu'au moment où quelqu'un prit son oeuf et sortit avec lui. Dehors, il faisait nuit, et le dragonneau eu la grande joie de s'apersevoir que c'était la jeune fille qui l'avait prit avec elle, et qu'ils étaient seul. Elle s’assit dans l’herbe et regarda les étoiles, en posant l’œuf à ses cotés. Le petit dragon l'observa encore un moment, puit, pousser par une étrange force, se mit à gratter la coquille de son oeuf avec ses grifes et à le cogner avec sa crête de pointes. Bien que cela lui fit mal à la tête, il continua, car il tenait absolument à sortir. Finalement, au bout d'un long moment, il réussit à faire voler l'oeuf en éclat...

Liana observait la Lune, le regard perdue dans les millions d’étoiles qui s’allumaient sous ses yeux. Le ciel devint d’un noir encre et profonds. Elle sentit la lourdeur de la nuit prendre place dans le village. Un silence s’installa doucement. Elle se laissa bercer par le son des feuilles du chêne auquel elle était adossée. Sa ramure frémissante sous le vent frais du soir. Son vieux tronc tortueux bougeait imperceptiblement. Un craquement se fit entendre. La jeune Varden releva la tête. Ce n’était pas une branche. Elle regarda autour d’elle, inquiète quand elle s’aperçut que l’œuf bougeait.

Elle recula pour observer le curieux phénomène. La surface se fissura peu à peu. Le cœur de Liana s’emballa : il éclosait ! Elle ouvrit de grands yeux. Non, ce n’était pas possible, pas pour elle ! Le vieux fermier lui avait comptait que les dragons naissaient quand ils avaient trouvés leurs dragonniers. Enfin, si se n’était pas des sauvages. Elle inspira un grand coup. Ils les choisissaient pour leur courage…

L’œuf vola en éclat. Elle sursauta et fixa la petite créature qui venait d’en sortir. Deux yeux immenses, une petite tête triangulaire, un corps musclé et parsemés de petites pointes menaçantes. Et ses écailles, rouges et brillantes comme sa coquille. La gorge de Liana se serra : que devait-elle faire ? Sa fascination prit le dessus : qu’elle était mignonne ! Elle tendit la main pour toucher le petit dragonneau. Ses doigts frôlèrent à peine la tête du reptile quand un éclair aveuglant jaillit. La jeune fille sentit son sang devenir de feu et s’évanouie.

Quand elle se réveilla, elle ne pouvait dire combien de temps c’était écoulé : une minutes ou une heure ? Elle s’étira lentement et se figea. Elle n’avait pas rêvé, il était bien la. La petite était bien là, la fixant de ses grands yeux adorables. Liana regarda sa mains et caressa sa paume : un ovale argenté s’y était dessiné. Elle était à présent une dragonnière. Son regard se posa à nouveau sur son dragon et elle sentit comme une dimension étrange dans son esprit. Elle secoua la tête comme pour la chasser. Elle connaissait l’usage de la magie et elle sentait que son pouvoir était devenu plus puissant.

La dragonnière se pencha et caressa la tête du dragonneau du bout des doigts. Rien ne se produisit,

Ouf ! Elle lui sourit et se leva :

-Tu dois avoir faim !

La Varden regarda autour d’elle. Pouvait elle rentrer chez elle avec le dragon ? Elle hésitât et s’empara du bébé. Après avoir caché les bouts de coquilles des pieds, elle rentra chez elle. Elle déposa le nouvel arrivant sur son lit et lui demanda d’attendre tranquillement. Elle disparut et revint avec de la charcuterie.

-Tiens, c’est pour toi

Di-t-elle en le déposant sur le lit. Elle s’assit à ses cotés et observa sa réaction.

Aprés que le petit dragonneau eu réussit à s'extirper de sa prison, il s'afala par terre. Le "combat" avec la solide coquille l'avait épuisé. Mais il se releva trés rapidement, car il savait que la jeune fille l'observait, et ne voulait pas passer pour un faible devant sa dragonnière. Il s'assit, tourna vers elle sa tête triangulaire et l'observa avec ses grand yeux verts clairs et resta la, une expréssion douce dans le regard, à atendre la réaction de la jeune fille...

Lorsque, après l'avoir observer un moment, elle tendit sa main vers lui pour le toucher, le petit dragon avenssa légèrement la tête pour aller à sa rencontre. Lorsque la peau rencontra les écailles, il y eu un éclair aveuglant et le dragonneau, tout comme la jeune humaine, il le savait, sentit son sang devenir de feu. Il fut violament projeté en arriére. Lorsqu'il se releva, il avait une atroce migraine, mais était tout de même content : Le fait que ça ai marcher signifier qu'il ne c'était pas trompé et que la jeune fille était bel et bien sa dragonnière. Il s'approcha d'elle. Elle était évanouie. Ne sachant que faire d'autre, il se coucha à ses coté et resta là, dans une sorte de trance, à observer sa dragonnière.

Absorbé par ses penssés, le petit perdit temporairement le sens du temps. Il ne savait pas combien de temps c'était écoulé quand la jeune fille se réveilla. Elle s'étira et se figea devant le dragonneau, avant de se tourner vers sa main, où un ovale argenté s’y était dessiné. Lorsqu'elle se tourna de nouveau vers lui, le dragonneau savait exactement se qu'elle ressentait, car il ressentait la même chose. Comme une dimension étrange dans son esprit. La jeune fille secoua la tête pour s'en débarrasser, mais le dragon, lui, ne le fit pas. Il ne trouvait pas ça désagréable. La dragonnière se pencha pour carrésser son dragon. Comme plus tôt, le dragonneau alla à sa rencontre, mais cette foix ci, rien ne se passa quand la peau rencontra les écailles.

La jeune fille sourit au dragonneau et lui dit :

-Tu dois avoir faim !

Comme toute réponce, le petit claqua des machoires en l'aire. En effet, il était afamé. Pendant que la dragonnière le ramennait chez elle, après avoir cacher les coquilles de son oeuf, le dragonneau jeter des regards interresser à tout se qu'ils croisaient. C'était la première foix qu'il voyait le monde à travers ses yeux, et non à travers sa coquille. Tout était tellement plus beau. La jeune fille le déposa sur un lit et sortit de la chambre. Le petit dessendit du lit et se mit à se ballader son regard se posant sur tout ce qui l'interresser. Puis il monta sur la fenêtre et resta là, à observer la lune.

Il sortit de sa trance lorsque la jeune fille revaint en lui disant :

-Tiens, c’est pour toi.

Elle dépsa sur le lit de la charcuterie. Heureux, le dragon poussa un petit grognement pour la remercier et sota sur le lit. Il commenssa par jouer avec sa nourriture. Il faisait roulé les morceaux de saucissons avec son museau ou bloquer de la viande entre ses pattes avant, la faisant tounoyer entre ses machoires pour la déchicter. Mais finalement, la faim fut plus forte que l'envie de jouer, et il dévora son repas avec férociter.

Lorsqu'il eu finit, il sota sur le tapis. Ce premier repas lui avait donner une grande envie de dormir. Il jeta un dernier regard ensomeiller à sa dragonnière et se mit en boule, le museau dans la queue, et s'endormit rapidement...

Liana resta assise sur son lit, un sourire aux lèvres. Devant ses yeux violets, le petit dragonneau couleur de feu jouait tranquillement avec la nourriture. Se doutait-il du bouleversement qu’il allait apporter dans sa vie ? La jeune Varden n’avait pas d’amis. Trop vive, trop arrogantes. Et pourquoi ? Parce que dans le passé, personne ne voulait d’elle. Parce qu’elle était différente. En effet, qui a déjà croisé une jeune fille aux oreilles quasi pointues, aux cheveux blancs et au regard violet ? Ne répondez pas, je connais la réponse… Non. Personne ne peux naître aussi étrange. Personne sauf les elfes. Or voilà, Liana n’était pas une elfe. Enfin, c’est ce qu’elle croyait.

Donc, tout le monde la prenait pour une personne trop différente sans vraies raisons. Hors, maintenant, elle aurait une raison : elle était dragonnière ! Dragonnière de cet adorable petit être rouge qui mangeait avidement. Adorable… mais quand même, il pouvait faire de dégâts : il suffisait de voir ses pointes affûtés, ses griffes et ses crocs pour espérer ne pas en faire son ennemis.

Quand il n’eu plus faim, il sauta sur le tapis pour y dormir tranquillement et plongea immédiatement dans le monde des rêves. La jeune fille s’étira. Se n’était pas vraiment sa nature de s’attendrir ainsi. Elle fit la moue, hésitante. Devait-elle réveiller le vieux fermier ? Elle se leva sur la pointe des pieds et sortit de la pièce. Elle monta les escaliers quatre a quatre et toqua à la porte.

-Entre

Il ne dormait pas apparemment. Elle entra et ferma doucement la porte avant de jeter un œil dans la pièce. Il se tenait devant la fenêtre. Admirant la Lune. Elle n’eu pas le temps de dire un mots qu’il l’interrompit :

-Je sais. Te voilà Dragonnière. Ton chemin sera difficile. Or, mon rôle s’arrête là.

Il tourna ses yeux doux et sages vers Liana.

-Je partirais demain à l’aube et tu ne me reverras plus. Prend soin de ton dragon.

Sur ce, il se tu. Son regard revint sur l'immensité étoilée. La Varden quitta les lieu, attristé de ne plsu le revoir. Elle rejoignit sa chambre et s’allongea sur son lit. Le regard posé sur le dragon rouge. Il lui fallait un nom. Elle sourit. Il s’appellerait Cerip. C’est avec cette pensée qu’elle s’endormie.

Pendant que la jeune fille partait sur la pointe des pieds vers la chambre du vieil homme, le petit dragonneau, dans un petit ronflemet paisible, dormer trequilement. En dehors de son oeuf étroit, c'était bien plus agréable et plus confortable de dormir. Il rêva de bien des choses, mais il ne se rappela que de certain de ses rêve : Le premier, le plus beau, où il était adulte et volait, ses longues et fines ailes carréssés par le vent, avec sa dragonnière sur le dot. Puis tout à coup, ses ailes disparréssaient, et il tombait, tombait, tentent de se redresser, en vain. Son dernier rêve, le plus afreux : Il était enchainé à un arbre, entouré d'ombre d'humain, ou d'autres vréatures, rigolant en le voyant se débatre et le piquant avec leurs épées. Devant lui, le visage ensanglanté, la jeune fille était morte, les yeux grand ouvert. Au début le dragon se tenait debout, puis, trop faible, il se coucha, et pour finir, comme pour sa dragonnière, son monde sombra dans les ténèbres...

Ce rêve eut un effet immédiat : Le petit se réveilla en sursaut. En se tournant vers le lit et voyant sa dragonnière coucher dans son lit, la respiration normal, il comprit que ce n'été qu'un cauchemard. Mais cela lui fit comprandre une chose : Même si vivre avec sa dragonnière sera une vie pleine d'aventure, et souvent de joie, elle sera aussi souvent pleine de tristesse et peut étre signifira-t-elle une mort afreuse. Mais il ne s'en inquiéta pas pour le moment : C'était la vie qu'il avait choisi, ce qu'il espérait, c'est que la jeune fille veuille bien de cette vie.

Ne réussissant pas à retrouver le someil, il se leva et sota sur le lit. Là, il se blotit contre elle et resta la, à observer ses oreilles un peut trop pointu et ses cheuveux étrangement blanc pour ceux d'une humaine. Elle ressemblait presque à une elfe. Cerip savait que, maintenant qu'ils avaient connecté leurs esprits, elle pouvait lire dans ses pansées et ses souvenirs, et lui pouvait lire les siennes. Il hésita, puis finalement se décida. Il se concentra et pénétra dans les pencés de sa dragonniéres. Là il trouva une son nom, Liana. Il n'alla pas plus loin. Le reste n'appartené qu'a elle seul, et il ne connaitra que si elle veux bien le lui raconté ou si il pence qu'il devient important qu'il le sache.

Peut de temps aprés, son petit ronflement paisible reprit. Le petit dragon c'était rendormi, blotit contre sa dragonnière, Liana...

[Je suis vraiment désolée du retard Cerip, j'avais une invitée ]

Liana dormit mal. Tout d'abord, si les journées étaient chaudes ici, les nuits étaient glaciales. De plus, quelque chose de tout a fais extraordinaire li était arrivé... Elle tournait et retournait dans sa tête les paroles du vieux fermier. Elle était devenue dragonnière... Mais pourquoi, pourquoi elle? Elle ne comprenait pas.

La Varden faisait cauchermards sur cauchemards et ca n'arrangait pas sa nuit. Dans son premier, elle faisait face au vieillard qui tombait d'un seul coup en criant et se transformait en dragon menacant, aux yeux rouges lancants des éclaires. Une flammes fondait sur elle et elle se reveilla en sursaut. Elle haletat un moment et son regard se posa sur Cerip. Si mignon endormi... Rien a voir avec son cauchermard. Elle se calma et se rendormit.

Dans son deuxième rêve, une peur terrible s'empara d'elle. Elle voyait une bataille, immense. Du feu jaillissait, puis plus rien.

Et un dernier. Elle était sur un dragon. Le siens en plus grand en faite. Il volait haut, haut! Elle poussait un cris de joie dans un éclair fendit le ciel et elle se sentit tomber dans la montagne. Soudain, une masse énorme jaillit du brouillard s'emparait d'elle et la déposait sur un plateau rocheux. Cerip. Elle tentait de se convaincre qu'elle n'avait rien a craindre de lui mais elle avait peur. De lui? Pas vraiment. Plutot de son avenir si elle choisissait de le garder. Un choix déja fait d'ailleur.

Le soleil se leva sur le champs et Liana ouvrit les yeux. Son dernier rêve c'était bien fini mais elle était encore retournée. Elle se leva sans bruit et s'approcha de la fenêtre. Son regard alla au loin. La ba était sa destinnée. Elle descendit manger un bout et remonta avec de la charcuterie. En attendant que Cerip se reveille elle fit ses bagages. Elle était allé vérifié dans l'autre chambre: vide. IL était partis.

[C'est pas grave, pas de problême]

Le reste de la nuit de Cerip se passa très bien. Il se sentait bien contre sa dragonnière. Contrairement au moment où il avait dormit sur le tapis, il avait fait un beau rêve. Il volait, Liana sur son dot, mais il ne se passa rien. Ils volaient, riaient, et aucune mésaventure ne leurs arriva. Puis il se réveilla, juste au moment où la porte se refermer derrière la jeune fille, quand elle alla voir la chambre du vieil homme.

Il se leva, s'éttira et repéra le tat de charcuterie. Il ésita et finalement se dessida. Il sota du lit, saisit juste un morceau de saucisse au passage et poussa la porte de la chambre resté entrouverte pour suivre sa dragonnière dans le couloir. Il la repéra devant la porte d'une autre chambre et voulut allé la rejoindre, mais vit un rat lui passer devant.

Pousser par l'anvit de jouer, il se mit à lui courire après. Il dessendit l'escalier et arriva dans la cuisine. Il fit un bon vers la rat au moment où il rentra dans son trou. Il le rata et finit contre le mur. Et il resta la, sa crête de pointes planté dans la pierre (ou le bois ?). Il se mit à tirer, tentent de se sortir de ce pétrain, mais rien à faire, il était coincé. Il se mit à pousser de petit cris pour appeler Liana à l'aide.

Liana était immobile. Plantée devant la fenêtre de la chambre du vieillard. Elle regardait le soleil se lever. Le ciel offrait une pallette de couleurs chaudes. Elle inspira l'air frais du matin quand une sensation la fit tressaillir. La faim, comme un éclair, suivit de l'exitation et... de la peur panique. C'était floue et embrouillait mais elle comprit en un éclair ce qui se passait: elle était connectée a Cerip. Elle ressentait legèrement se qu'il ressentait. La Varden se concentra et descendit les esclaliers. Il était la planté dans le mur. Elle eu un sourir et s'accroupit a ses cotés. Doucement, elle le tira en arrière et l'enleva du mur de bois. (pas de pierre ) Elle le carressa doucement pour le rassurer:

- Allons Cerip! Arrête tes bétises!

Liana se leva et s'empara de quelque chose qui était posé sur la table. Un fourraux rouge. Elle en tira une magnifique épée, simple mais efficace qui brilla a la lueur d'une bougie. Elle la posa a coté de son dragon et demanda:

-Qu'est ce que tu en penses?

Sentant que sa dragonnière n'entendait pas ses cris, Cerip utilisa une autre technique : Il entra en contacte avec son esrit, tentent de lui faire ressentir sa peur. Il n'eu pas de confirmation qu'elle l'ai ressut et comprit, jusqu'à ce qu'il entende les pas de Liana dans l'escalier. Il sentit qu'elle souriait. Il eu un petit grognement boudeur. Il détestait se ridiculiser comme ça.

Il sentit Liana le saisir et le tirait doucement. Ses pointes se délogèrent du boit plus facilement qu'il ne l'avait pencé. Elle se mit à le carréser en lui disant d'arréter ses bétises. Le petit dragon se sentait bien, contre sa dragonnière. Il se sentait rassuré. Puis il se rendit qu'elle l'avait appelé Cerip. C'était étonnant qu'elle l'ai appelé ainsi, vu que c'était le nom que lui avait donné son père, 250 ans plus tôt. Il se mit à ronroner de plaisir.

Au bout d'un moment, Liana se leva et alla chercher quelque chose sur la table. Puis elle posa à coté de lui une magnifique épée. Elle était simple, mais apparament efficace. La longue lame brilla d'une lueure argenté à la lumiére de la bougie. Lorsque sa dragonnière lui demanda se qu'il penssait de cette épée, le petit dragon poussa un grognement de joie et se remit à ronronner.

Devant le ronronnement du dragonnaux, Liana eu un sourire attendrit. Apparement, elle lui plaisait. Elle s'entrainait depuis si longtemps a s'en servir... Et voila enfin le moment d'arrêter de faire semblant! La Varden courut dans sa chambre et revint avec ses baggage. Un petit sac. Quelques affaires. Elle pris Cerip dans ses bras, son épée accrochée dans son dos avec le petit sac. C'est là qu'elle mit son dragonnaux, le cachant aux yeux du monde. Bientôt, il serait bien trop grand pour cela! Inspirant a fond, elle ouvrit la porte en grand. Son avenir était devant elle. Elle partit a grandes enjambée. Elle partit aux écuries et, après l'avoir préparée rapidement, elle monta sur Feeling, son étalon gris. Celui ci renacla et, répondant a une prétion de jambes, bondit sur le chemin.

Liana le mit au galop et se retourna, regardant une dernière fois son village. Elle sortit Cerip et le posa sur la croupe du cheval qui ne broncha pas. Elle lui sourit. Autour d'elle s'étendait les champs aniba, deserts. La jeune fille détourna so regard et dit a Cerip:

-Direction Aberon!