Jdr-Eragon
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 Contexte et Histoire du Forum

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Arya
Reine des Elfes / Admin en chef
Arya


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MessageSujet: Contexte et Histoire du Forum   Contexte et Histoire du Forum Icon_minitimeMar 29 Mai - 21:20

Contexte et Histoire du Forum.


Avant toute lecture, je suis dans "l'obligation" de vous prévenir, cher lecteur, du risque que vous encourez. Dans le récit qui suit, certaines révélations du tome 1 et 2 de "l’Héritage" vous seront dévoilées, dans le but d’une meilleure compréhension de l’univers du forum. J’en suis désolée pour tout les lecteurs et lectrices qui souhaitent ne rien apprendre avant d’avoir terminer le livre…
Par ailleurs, le contexte ici présent est une adaptation. Aussi, ne soyez donc pas surpris que la fin soit de pure invention.
Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture, à tous et à toutes.


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L’Alagaësia… Un pays où le chaos ne cesse de régner continuellement…Chaque paysans, chaque vassaux, guerriers, hommes, femmes et enfants sont le martyre d’un roi sans merci, d’un roi fou mais terriblement intelligent ; un roi au pouvoir suprême… un roi dénommé Galbatorix. Monarque absolu, son pouvoir s’étend de jours en jours, de minutes en minutes, jusqu’à la moindre et insignifiante seconde. Défiant les dieux, l’empereur gouverne ses terres sans scrupules, ne s’occupant que de son bien-être, de sa glorieuse et terrible réussite.
Face à un si grand désastre, un groupe de rebelles a tenté de détrôner Galbatorix. Plusieurs guerres eurent lieux, s’enchaînant souvent avec une durée de temps incroyablement minime mais aucunes ne portèrent préjudice. Le roi était décidément invincible et aucunes chances de voir les libertés rétablies n’étaient envisageables.
Pourtant, l’arrivée d’un jeune homme eut pour effet de changer la situation, pendant un moment. Il s’appelait Eragon, n’était qu’un modeste fermier destiné, pour ainsi dire, qu’à une vie pittoresque, entourée de paysans et de champs. Un jour, alors qu’il chassait dans la Crète, le jeune homme trouva une bien étrange pierre, qui en réalité, était un œuf de dragon. Dès lors où la coquille se mit à bouger et que le lien entre les deux individus se tissa, Eragon devint… le nouveau dragonnier.
Poursuivis par l’Empire qui cherchait à l’avoir parmi ses rangs, il préféra rejoindre les rebelles qui se cachaient avec les nains, dans les montagnes de Beors. Lors de sa périlleuse traversée de l’Alagaësia, le jeune garçon rencontra bon nombre de personnages important pour l’avenir. Tout d’abord, il y eut Brom, le vieux conteur du village. C’est lui qui commença son apprentissage en tant que dragonnier, c’est aussi lui qui périt le premier. Accompagné d’Arya, la princesse Elfe avec qui il communiquait mentalement, ainsi que de Murtagh, un jeune homme qu’il découvrirait plus tard comme étant son frère, il rejoint les rebelles. Eragon passa plusieurs mois dans leur repère secret, accomplissant des travaux utiles pour l’armée, combattant pour leur cause. Puis il partit pour Ellesmera, la citée cachée des Elfes et y termina son apprentissage. Lorsqu’une bataille fut annoncée au Surda et que les troupes de Nasuada (la nouvelle reine rebelle) furent confrontées aux prestigieux soldats de Galbatorix, le nouveau prodige les rejoignit sur le champ de bataille. C’est parmi ce flot de cadavres, de sangs et de fumées que Murtagh, son frère, lui annonça qu’il était devenu chevaucheur de dragons, à son tour, mais que contrairement à lui, il avait rejoint le côté obscur, celui du roi… Les rebelles gagnèrent la bataille, par simple chance peut-être. Mais le cœur des combattants n’était pas à la fête et autres fastes. La guerre n’était pas finit, loin de là. Désormais, ils savaient à quoi s’attendre du côté des ennemis : un dragonnier redoutable qui les avaient trahis, et qui avait créé en eux un sentiment de peine et d’accablement.
Par la suite, les mois s’écoulèrent et quelques guérillas modifièrent cette monotonie qui s’installait de jours en jours.
Qui aurait pu prévoir que la situation se retournerait lors d’un soir fatidique… ? Personne. Même les Dieux n’étaient pas au courant.
Cette nuit, la douleur et les pertes étaient rudes et nombreuses dans le camp des rebelles qui devaient s’avouer vaincu, une fois de plus. Parmi ce champs de déception, une sorte d’étoile, astre inconnu de la population, traversa le ciel, produisant un son terrifiant et une lumière éblouissante, puis disparu dans le lointain, laissant les guerriers complètement abasourdis. Très vite, une nouvelle circulait dans tout l’Alagaësia à propos de l’événement qui s’était produit. « Le changement » disait-on sans pouvoir décrire de quelle nature était celui-ci.
Et personne ne le sait encore…
Après cette nuit particulière, on entendit des rumeurs un peu partout. La plupart étaient certifiées, et cela en devenait très inquiétant, et pourtant… une lueur d’espoir naissait dans les deux clans.
« Les dragons… j’en ai vus dans la forêt ! » avait-on hurlé un jour parmi les rangs de rebelles. Et très vite, de nouveau dragonniers faisaient leur apparition…
Les Elfes, paniqués par cette nouvelle, rejoignirent les combattants qui résistaient tant bien que mal à l’ennemi, et voulurent s’assurer que les nouveaux dragonniers ne feraient pas de choix absurdes en défendant les principes de Galbatorix. Islanzadi elle-même, la reine du beau peuple aux longues oreilles avait fait le déplacement pour l’occasion.
C’est ainsi qu’eu lieux une nouvelle bataille, périlleuse, beaucoup plus importante et sanglante que les précédentes… On l’appela « La fin du monde. »
Le tyran avait réunis ce jour là ses meilleurs soldats et ses plus grands magiciens. Pour plus de sûreté, leurs âmes avaient été ensorcelées par le roi en personne, dans le but d’obliger les guerriers à ne pas abandonner le champ de bataille, avant de pouvoir crier « victoire ». Les pupilles des ennemis étaient soudainement devenues noires comme la nuit, aussi sombres que leurs envies, aussi menaçantes que leur maître… Les Vardens avaient eux aussi envoyé au combat leurs meilleurs régiments. Composées d’humains guerriers et mages, d’Elfes, d’Urgals, de chats garous ainsi que de nains, leurs troupes entrèrent dans les légendes d’Alagaësia comme étant les plus « mixtes de nations ». Jamais encore autant de peuples ne s’étaient mobilisés pour vaincre Galbatorix et ses partisans.
La bataille fut déclarée à même Urû’Baen, la capitale de l’empire. Dès lors, les deux clans se foncèrent mutuellement dessus. Tandis que le sang coulait à flot, aussi bien chez les bons que les mauvais, les magiciens, à l’écart du combat, usaient de tout leur art, de toute leur malice. Ils se mobilisaient et tentaient d’envoyer à l’ennemi, des ondes néfastes qui aurait un impacte sur le maniement des armes chez les troupes adverses. Grâce à cette ruse basée sur les connaissances de l’ancien langage, les Vardens eurent tôt fait d’avoir l’avantage. Petit à petit, la ville se retrouvait encerclée par les rebelles qui avaient pour but d’atteindre le château afin d’exterminer le coupable du malheur présent.
Mais, c’était sans compter l’arrivée des Dragonniers… Il se trouva que ses derniers s’étaient liés par grands nombres à l’empereur, défendant le monarque suprême. Nasuada demanda à ses troupes de battre en retraite tandis que les Elfes prenaient les commandes. Hélas, les dragons et leurs flammes destructrices étaient bien plus puissants, quasiment invincibles, malgré l’imminent talent du beau peuple d’Alagaësia. Déjà, l'offensive des rebelles était vouée à l’échec.


Dernière édition par le Mar 29 Mai - 23:11, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Contexte et Histoire du Forum   Contexte et Histoire du Forum Icon_minitimeMar 29 Mai - 21:21

Les corps tombaient à terre, de plus en plus nombreux, mais l’espoir animait toujours le cœur des vaillants combattants. Islanzadi, accompagnée de sa fille et de quelques guerriers rapidement désignés, réussirent (après une traversée périlleuse) à atteindre la forteresse. Sitôt les grande portes de bois noirs franchis, le petit groupe fut accueillit bien chaleureusement par les gardes de la famille royale, composés en partie de Dragonniers. N’imaginez même pas leur joie…
Eragon, le dragonnier le plus prometteur des Vardens, s’était joint au petit groupe de rebelles afin de prendre en assaut le château. Et, comme le hasard fait étrangement bien les choses, Murtagh, qui était alors un traître pour les résistants et un parjure des plus hauts gradés, vint à sa rencontre le premier. Un combat sans merci se disputa entre les deux frères de sang, les jeunes gens étant de forces égales. Rester dans leur champ de vision était devenu suicidaire et quiconque s’approchait d’eux deux se retrouvait foudroyé en quelques instants.
Arya accompagnée de sa mère et de deux autres guerrières prénommées Louve et Maryn, furent les seules survivantes du petit groupe qui avait réussi à atteindre la demeure du roi. Les deux dragonnières mêlaient leur force pour vaincre les soldats, tandis que les deux Elfes partaient en quête de l’empereur. Traversant de nombreux corridors et franchissant maintes portes, elles réussirent enfin à débusquer dans la prestigieuse salle où siégeait Galbatorix. Ce dernier avait prévu leur arrivée, et sa main droite agitait mécaniquement son épée redoutable. Islanzadi s’avança, sublime et déterminée. Les années n’avaient point d’effet sur sa beauté, mais, hélas, on ne pouvait en dire autant pour son cœur. Toujours est-il qu’elle le défia, lui, son plus grand ennemi, celui que tous désiraient mort. Un deuxième combat s’engagea, bien plus surprenant que celui entre Murtagh et Eragon, bien plus sanglant que celui entre les parjures et les rebelles, et qui plus est, bien plus symbolique que tout le reste. C’était une lutte sans merci. Pas pour le pouvoir, non. Pour la liberté.
Les deux grands souverains d’Alagaësia mirent toute leur énergie dans ce combat, toute leur force, leur puissance. Trois jours. Ce fut le temps nécessaire à Galbatorix pour mettre à terre la vaillante reine elfique. Trois jours, ce fut la limite que les deux frères légendaires ne purent dépasser. Les deux dragonniers s’effondrèrent au sol, leur âme cessant de vivre au même moment.
L’histoire aurait pu s’arrêter là. Une défaite, une reine morte, beaucoup trop de cadavres. Voila où avait menée « La fin du monde ». Et tout leurs efforts des rebelles auraient été réduit à néant, si la gente féminine n’avait pas sauvé la mise.
Galbatorix riait, regardant la plus belle femme de ce monde, inerte sur le sol. Derrière, la princesse des elfes ne pouvait intervenir, comme tétanisée par un maléfice inconnu. Le roi lui jetait des regards méprisants, réjouis aussi. Et c’est à cet instant que les trois mots furent prononcés. La reine, avant d’offrir son âme aux dieux de la nature, avait entrouvert la bouche et énonçait avec peines les paroles symboliques que personne ne pouvait entendre ni répéter. Cette magie, elle seule était capable de l’utiliser et aucune de ses progénitures ne pourrait en hériter. Ce fut sans doute pour cela que Galbatorix ne put contrer l’attaque, cette technique étant inconnue de tout être humain. Une violente douleur le frappa soudainement au niveau des yeux, comme si ses pupilles se déchiraient, comme si sa vie elle-même lui était dérobée. La douleur était atroce, insupportable et ignoble. La reine résistait comme elle pouvait, ne voulant pas céder tout de suite sa vie. Il lui restait à accomplir la prophétie… Arya, s’apercevant que sa mère était à bout de force, créa un lien magique avec la mourante. Les dernières volontés de cette reine remarquable se répétèrent sur les lèvres de sa progéniture. Trois mots, traduisibles cette fois-ci dans leur langue.
« Sagesse. Amour. Wyrda… »
Après cette phrase fatidique à la signification inconnue, l’empereur se tordit de souffrance, le rythme de son sang s’accélérant à n’en plus finir. Il venait de perdre l’usage de ses yeux. Un tatouage aux couleurs d’or se dessinait dangereusement sur sa poitrine, et se grava à même son cœur. En dessous d’une représentation du langage elfique, trois initiales : S.A.W.
C’est ainsi que la « Fin du monde » se termina. Les Vardens prirent la fuite sous les assauts des troupes ennemies qui devenaient de plus en plus nombreuses. Les rebelles ne repartirent pas pour le Surda, mais vinrent s’installer au Du Weldenvarden, le repère secret des Elfes. Tandis que Galbatorix se rétablissait en silence, Arya fut proclamée héritière légitime du trône. Une grande fête suivit son couronnement, chez les Elfes. Ce fut également cette nuit que les défunts reçurent leur bénédiction…
Pendant trois ans, plus aucune bataille n’eût lieu. Les Vardens et les Elfes avaient eut trop de pertes lors de la dernière bataille, et une nouvelle guerre n’était plus envisageable avant des années. De son côté, l’empereur, avait abandonné ses plans de destructions, il se faisait plus discret et diminuait la maltraitance du peuple. On disait qu’il était devenu juste, que plus jamais il ne ferait de mal. Mais toute cette conspiration laissait de nombreux doutes à son sujet…
Au jour d’aujourd’hui, des rumeurs court dans tout l’empire. Certains espions affirmeraient que l’objectif du monarque n’est plus l’extermination des rebelles, ni même de découvrir l’endroit où ils se réfugient. Non, ce qu’il désire est beaucoup plus anodin : un œuf de dragon. Après la « Fin du monde », tous avaient été informés de la disparition de l’œuf émeraude, le seul que Galbatorix avait jusqu’alors en sa possession. Mais une question persiste : Pourquoi, alors que les dragonniers et les dragons se font de plus en plus courant, souhaite-t-il retrouver cet œuf en particulier ?
Les rebelles ont peur. Si le roi cherche à mettre la main dessus, c’est qu’il renferme quelque chose de bien plus important qu’un simple dragon. Maintenant, la chasse est lancée…
Qui le retrouvera en premier ?
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